Bookseller chronicles
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Vous avez jusqu'au 21 janvier 2025 (inclus) pour précommander ce support de cours polycopié
Cette année, afin de limiter le gâchis de papier, nous limitons la fabrication de ces trois polycopiés aux élèves intéressés.Vous avez jusqu'au 21 janvier 2025 (inclus) pour précommander ce support de cours polycopié.
Les polycopiés seront ensuite imprimés et vous serez prévenus par la librairie, lorsqu'ils seront livrés en magasin.
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Vous avez jusqu'au 21 janvier 2025 (inclus) pour précommander ce support de cours polycopié
Cette année, afin de limiter le gâchis de papier, nous limitons la fabrication de ces trois polycopiés aux élèves intéressés.Vous avez jusqu'au 21 janvier 2025 (inclus) pour précommander ce support de cours polycopié.
Les polycopiés seront ensuite imprimés et vous serez prévenus par la librairie, lorsqu'ils seront livrés en magasin.
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Prix littéraire des Sciences Po
Prix littéraire des Sciences Po
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Précommande possible jusqu'au 27 août 2024 inclus (Attention : pas de second tirage pour les retardataires)
Chères étudiantes, Chers étudiants,
Cette année, afin de limiter le gâchis de papier, nous limitons la fabrication de ces trois polycopiés aux élèves intéressés.
Vous avez jusqu'au 27 août 2024 12h00 inclus pour précommander ces trois supports de cours.(Attention : il n'y aura pas de second tirage pour les retardataires)
Les textbooks imprimés seront ensuite disponibles à la vente, à la libraire de Sciences Po, uniquement aux étudiants ayant passé commande.
La librairie vous préviendra, par mail (début septembre), de l'arrivée des polycopiés en magasin.
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Précommande possible jusqu'au 27 août 2024 inclus (Attention : pas de second tirage pour les retardataires)
Chères étudiantes, Chers étudiants,
Cette année, afin de limiter le gâchis de papier, nous limitons la fabrication de ces trois polycopiés aux élèves intéressés.
Vous avez jusqu'au 27 août 2024 12h00 inclus pour précommander ces trois supports de cours.(Attention : il n'y aura pas de second tirage pour les retardataires)
Les textbooks imprimés seront ensuite disponibles à la vente, à la libraire de Sciences Po, uniquement aux étudiants ayant passé commande.
La librairie vous préviendra, par mail (début septembre), de l'arrivée des polycopiés en magasin.
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Précommande possible jusqu'au 27 août 2024 inclus (Attention : pas de second tirage pour les retardataires)
Chères étudiantes, Chers étudiants,
Cette année, afin de limiter le gâchis de papier, nous limitons la fabrication de ces trois polycopiés aux élèves intéressés.
Vous avez jusqu'au 27 août 2024 12h00 inclus pour précommander ces trois supports de cours.(Attention : il n'y aura pas de second tirage pour les retardataires)
Les textbooks imprimés seront ensuite disponibles à la vente, à la libraire de Sciences Po, uniquement aux étudiants ayant passé commande.
La librairie vous préviendra, par mail (début septembre), de l'arrivée des polycopiés en magasin.
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Nouveau !
Caractéristiques techniques :
Stylo bille à encre noire. Longueur d'écriture 4 km. Fabriqué en Europe
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Nouveau !
Gourde en Tritan de 600 ml
Diamètre: 7.20 cm. Hauteur 20 cm.
Logotypée en Espagne
Sans BPA, avec un corps en tritan transparent et une résistance à la chaleur élevée
Bouchon à vis en acier inoxydable. -
Nouveau !
Vous partez en week-end ou à la salle de sport ? Ce sac de sport Sciences Po est l'accessoire qu'il vous faut !
Caractéristiques techniques :
Dimensions : 50 x 25 x 25 cm, contenance 20 litres
100% coton bio
Logo sérigraphié en France -
La pré-réservation n'est plus possible
Ce support de cours polycopié n'est plus réservable. La date butoir était le 15 mars 2023
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Vous avez jusqu'au 14 févier (inclus) pour précommander ce support de cours polycopié.
Cette année, afin de limiter le gâchis de papier, nous limitons la fabrication de ces trois polycopiés aux élèves intéressés.
Vous avez jusqu'au 14 févier (inclus) pour précommander ce support de cours polycopié.
Les polycopiés seront ensuite imprimés et vous serez prévenus par la librairie, lorsqu'ils seront livrés en magasin.
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L'équipe de la librairie vous conseille
Mon avis : Darrin Bell est le premier noir à recevoir le prix Pullitzer. Au cours de sa vie, beaucoup (trop) de ses contemporains se sont arrêtés à sa couleur de peau, considérée comme une menace. Exemple prit de ce policier qui lui confisque à 6 ans son pistolet à eau vert fluo, « en guise d’avertissement ».
Dans un récit autobiographique poignant et puissant, Darrin Bell nous entraîne dans son quotidien de petit garçon, puis d’homme noir, dans un pays où le racisme peine à reculer, plus de 250 ans après l’abolition de l’esclavage.
Son regard acerbe sur la société américaine contraste avec son trait simple, parfois brouillon, mais toujours efficace.
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L'équipe de la librairie de Sciences Po vous conseille
Extrait :
« Ton père partait à l’aube (…) J’entends le bruit de sa bécane. Le silence de la nuit, les camions et les bagnoles qui nous frôlaient sur la nationale. On racontait que c’était le jeu préféré des fachos du coin de nous rouler dessus… On appelait cela : « décrocher du melon »… Les melons, c’était nous… »
Mon avis :
"C’est à la fois mon père et un étranger qui est mort »
Grâce à ses anciens camarades d’usine, un fils découvre son père. Il revit son arrivée en France, sa jeunesse engagée, sa passion inattendue pour la musique et son premier amour.
Un récit intimiste de l’immigration et du monde ouvrier des Trente Glorieuses. -
L'équipe de la librairie de Sciences Po vous conseille
Le sujet : Hirokaza quitte sa maison, au milieu de la nuit, avec seulement deux valises. Akaïma fait la plonge dans le restaurant du vieux Kobayashi, quand celui-ci est assassiné par la pègre. Yukito travaille dans un restaurant japonais depuis 5 ans, pour payer ses études. Tous vont se retrouver liés aux évaporés, ces gens qui disparaissent volontairement, par milliers, chaque année au Japon et que personne ne cherche vraiment.
Mon avis : Isa Moutte nous plonge en noir et blanc dans un Japon post-Fukushima où se croisent anonymes, perdus et fuyards, bien loin des geishas, du kawaï et des trottoirs bondés de Tokyo. Une œuvre maîtrisée et sublime
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Sélection officielle Angoulème 2024
Sélection officielle Angoulème 2024
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La librairie de Sciences Po vous conseille
Le sujet : Quand Robert Peel crée la Metropolitan Police de Londres en 1864, il ne se doute pas qu’elle sera à l’origine de toutes les polices du monde, telles que nous les connaissons aujourd’hui. Avec la colonisation, le modèle du policier en uniforme bleu s’est répandu à travers le monde, s’adaptant aux coutumes locales, aux traditions et aux modes de vies.
Passée de l’agent qui patrouille seul dans le fog victorien aux robots policiers chinois, la police semble s’éloigner de plus en plus du peuple pour devenir un outil de plus au service des pouvoirs en place et aujourd’hui, les exactions policières n’épargnent plus personnes.
Mon avis : Le modèle du Bobby londonien est-il toujours le meilleur ? À l’aube de la révolution technologique des algorithmes, peut-il y avoir une autre police ?
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L'équipe de la librairie vous conseille
Le sujet : Asher Lev est un hassid de Brooklyn. Dès sa plus tendre enfance il dessine avec une virtuosité indéniable. Pour sa communauté comme pour ses parents, ce talent n’est pas un don de Dieu mais une malédiction. Une tentation du sitra ashra, du Mal, qu’il convient d’abandonner. Mais que faire lorsque ce don se transforme en pulsion incontrôlable ?
Quel prix Ashert devra-t-il payer pour vivre librement son art ? Art et religion peuvent-ils coexister ? Abandonnant une tradition pour une autre, Asher Lev connaîtra déchirement, hésitation et peur, mais verra, finalement, s’ouvrir les portes de la gloire et de l’immortalité.
En un mot : Un roman inoubliable sur l’émancipation et ses conséquences, un roman incontournable sur l’Art et ses exigences. À lire ou relire.
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L'équipe de la librairie vous conseille
Mon avis : Après la Seconde Guerre Mondiale, les autorités sanitaires chinoises invitaient les familles les plus pauvres à vendre leur sang pour compléter leurs revenus. Une pratique aujourd’hui interdite, après la contamination de centaines de milliers de paysans dans la province de Henan.
Yu Hua déroule la vie d’un livreur de cocons, et de ses camarades, aussi frais qu'attachants. Tous auront recours à cette pratique pour faire face aux épreuves : famines, filles à marier, factures d’hôpital imprévues…
A travers ces vies jalonnées de dons et ces corps vigoureux qui s’étiolent, on vit le passage de la Révolution culturelle et les transformations de la Chine rurale.
En un mot : Une figure quasi-christique, avec un sens de l’honneur et du dévouement familial chevillés au corps… Un roman inoubliable.
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L'équipe de la librairie vous conseille
Dans ce roman fleuve paru avant la Seconde guerre mondiale, Israël Joshua Singer évoque, dans un style poétique et précis, fait d’entrelacs constants, les nombreux événements qui bouleversèrent l’Europe de la première moitié du siècle dernier : la révolution industrielle ; l’émergence du communisme ; la montée du militarisme ; la guerre et les pogroms.
Ce sont tous ces événements que l’auteur nous fait revivre à travers les yeux de la communauté ashkénaze de Lodz. Car, finalement, l’histoire des frères Ashkenazi n’est qu’un prétexte, sorte de fil conducteur. Le sujet principal est bien ailleurs ; il est tout entier dans cette Europe qui perd la raison, emportée par une folie consumériste, nationaliste, intolérante et belliqueuse.
Un livre d’histoire, passionnant de bout en bout.
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L'équipe de la librairie vous conseille
Notre avis : Comme tant d’autres Français durant la guerre d’Algérie, Fernand Iveton prit fait et cause pour les indépendantistes. Il fut le seul toutefois à le payer de sa vie, condamné à mort et guillotiné pour avoir posé une bombe qui ne tua personne.
Joseph Andras, avec beaucoup de délicatesse et une tendresse sincère, livre le récit d’un homme simple et oublié. Il redonne vie, avec une efficacité saisissante, à Fernand Iveton, à ses joies, ses espoirs, ses souvenirs. Avec rage et puissance il dénonce l’effroyable machine coloniale et judiciaire qui lui broya le corps, lui trancha la tête mais ne parvint jamais à briser son esprit.
En un mot : Bouleversant et brillant.
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L'équipe de la librairie vous conseille
Extrait : « À cette époque-là, je ne savais pas encore qu’un jour je la blesserais irrémédiablement. Je ne savais pas que parfois un être humain peut en blesser un autre, par le seul fait d’exister et d’être lui-même…/…Bien entendu, en faisant du mal à Izumi, je m’en étais fait à moi-même. Je m’étais infligé une profonde blessure - bien plus profonde que je ne pouvais l’imaginer à ce moment-là …/…en définitive, je n’étais qu’un être humain ordinaire, capable de faire du mal ».
Le sujet : Premier amour, première trahison, mariage, enfants, club de jazz et sentiment d’accomplissement personnel, tout semble réussir à Hajime, quand réapparaît un jour ce premier amour. Le temps s’emballe, rêveries et phantasmes l’envahissent au risque de pulvériser cette vie si réussie.
Mon avis : Roman de la solitude, roman de la maturité et de la douceur ? Un très joli texte sur les premières amours et leurs cortèges de rêves et de phantasmes, sur les blessures qu’il faut un jour dépasser, mais qui détruisent certains, sur le couple et sa capacité à renaître à lui-même.
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L'équipe de la librairie vous conseille
Notre avis : Ce livre dense et sombre nous emmène en Algérie, au temps de la guerre, où deux appelés, Rebut et Bernard vont faire l’expérience de l’horreur la plus totale. De retour en France ils ne pourront rien dire pour tenter d’expliquer, rien faire pour oublier et porteront, toute leur vie, la tristesse insondable de leur innocence perdue.
Laurent Mauvignier parle dans cet ouvrage du silence de ces soldats jamais revenus de l’enfer. Il fait s’entremêler plusieurs voix pour raconter l’effroi, le dégoût, la peur mais surtout l’impossibilité de dire. Par pudeur, pour ne pas terroriser leurs compatriotes, ces hommes furent hantés par leurs traumatismes et tentèrent, tant bien que mal, de vivre.
En un mot : Un roman de guerre, dur et puissant.
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L'équipe de la librairie vous conseille
Notre avis : Qu’elle parle du déclassement ou de l’exil solitaire d'un migrant aux États-Unis, des maris volages ou de la rencontre involontaire de deux femmes que tout sépare (ethnie, religion, éducation, condition sociale) pendant une violente émeute raciale; ou qu’elle fasse surgir l’ombre de la guerre du Biafra, il règne dans cette très belle série de nouvelles de la jeune romancière nigériane Chimamanda Ngozi Adichie, un ton juste et une vraie tristesse : celle des femmes humiliées, oubliées, violée; celle des enfants morts et des vies brisées dans le silence des dictatures.
Une grande romancière : Un très beau livre d'une romancière déjà primée aux États-Unis pour ses précédents romans L'Hibiscus pourpre et L'Autre moitié du soleil, ou plus récemment Americanah, tous publiés chez Gallimard