"Le livre officiel du jubilé de Notre-Dame de Paris (850 ans), placé sous le haut patronage du Président de la République. Cet ouvrage magnifique, sixième volume de la collection « La grâce d'une cathédrale », (500 pages, 600 photographies, 4 kilos), à la fois documenté et grand public, est le livre le plus complet jamais édité sur la cathédrale la plus célèbre et la plus visitée au monde. Rédigé par 50 auteurs, publié sous la direction du Cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, ce somptueux livre sur la cathédrale Notre-Dame de Paris présente l'épopée de sa construction au fil des siècles, la description de l'édifice et de ses merveilles ainsi que sa riche histoire civile et religieuse.
Ce monumental livre sort au moment du 800e anniversaire de la cathédrale de Metz. Tous les aspects de l'histoire la cathédrale de Metz y sont abordés, ainsi que la description architecturale et artistique du monument. De très grand format, rédigé par une trentaine d'auteurs (historiens, historiens de l'art, archéologues, musicologues, théologiens), dans une magnifique reliure toilée, avec un estampage or, ce livre donne à voir et à comprendre les merveilles de la cathédrale.
Comme tous les ouvrages de la collection « La grâce d'une cathédrale », il est composé en trois parties :
1. LA LONGUE HISTOIRE DU CHANTIER, des origines archéologiques aux travaux de restauration les plus récents, et les enjeux de construction et de reconstruction de la cathédrale.
2. LES BEAUTÉS DE LA CATHÉDRALE : architecture, sculpture, vitraux, mobilier, orgues, cloches, horloge, trésor.
3. LA VIE CIVILE ET RELIGIEUSE : l'histoire de la cathédrale au fil des siècles, les grandes figures et les grands moments, le rapport à la cité, la place de la musique.
Au coeur du Languedoc, dans les gorges de l'Hérault, l'abbaye de Saint-Guilhem-le-Désert est l'un des édifices romans les plus remarquables du Midi, avec ses proportions tout en harmonie et son dépouillement propre à l'art monastique.
Cet ouvrage magnifique retrace la longue histoire d'un édifice construit par les bénédictins (XIe-XIVe siècles) dans ce « désert » des Causses, agrandi par les mauristes (à partir du XVIIe siècle), sauvé de la ruine au XIXe siècle,et animé depuis 1978 par les soeurs du carmel Saint-Joseph.
Étape du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, l'abbaye de Gellone vit toujours au rythme des pèlerins, mais aussi des touristes, amateurs d'art et mélomanes attirés par ce haut-lieu patrimonial et naturel, classé depuis 1998 au Patrimoine mondial de l'Unesco.
Avec ses 288 pages et 350 superbes illustrations, ce livre de grand format, magnifiquement relié - et pesant près de 3 kilos ! - propose la somme des connaissances les plus actuelles sur l'abbaye de Gellone.
Sous la direction de Mgr Pierre-Marie Carré, archevêque de Montpellier.
Direction scientifique : Matthieu Desachy, Daniel Le Blévec, Géraldine Mallet.
Photographies : Jean-Pierre Gobillot.
Dans la lignée de la collection « La grâce d'une cathédrale ».
Comme pour la collection « La grâce d'une cathédrale », le livre est composé de trois grandes parties thématiques :
I. L'histoire du site et l'aventure de la construction, depuis les vestiges antiques sur la colline de Fourvière, les projets du milieu du XIXe siècle, jusqu'au chantier débuté en 1872. La basilique, consacrée en 1896, rend hommage à la Vierge Marie, dont le culte était célébré sur la colline depuis le Moyen Âge. L'architecte, Pierre Bossan, a créé un monument très original, rassemblant, dans sa richesse orientalisante, tout le passé de la colline en un édifice monumental dominant la ville.
II. Une description détaillée de l'édifice et de ses merveilles, avec son iconographie foisonnante, ses mosaïques et sculptures grandioses chargées de symboles, les magnifiques objets de son trésor, vêtements liturgiques et orfèvrerie, sans oublier les ex-voto et supports de dévotion populaire.
III. La riche histoire d'un sanctuaire du Moyen Âge à nos jours, rythmée par le développement du christianisme à Lyon, le rôle des archevêques, des chanoines, des fidèles et des pèlerins. À l'ombre de Fourvière, sur « la colline qui prie », rayonnent au fil des époques de nombreux courants religieux (missionnaires, jésuites...). La vie civile est présente - avec la tradition du Voeu des échevins, la fête des Lumières le 8 décembre, le musée d'art religieux - illustrant les enjeux patrimoniaux et touristiques actuels d'un site fréquenté par le monde entier.
50 bibliothèques et archives - dans l'Aube, la Marne, la Haute-Marne et les Ardennes - ont ouvert leurs fonds et sortis leurs plus beaux trésors 80 auteurs, archivistes et bibliothécaires, commentent les trésors sur lesquels ils veillent.
Plus de 200 trésors sont présentés, recoupant toutes les périodes historiques : d'objets antiques jusqu'aux livres d'artistes contemporains, en passant par les chartes et riches manuscrits médiévaux, les incunables, les ouvrages des Lumières, des gravures, des photographies, des carnets de guerre,...
Ce livre met en lumière, grâce aux images et à des courts textes, les richesses de l'histoire champenoise : les grandes abbayes, le sacre des rois de France, les industries textiles, le vignoble champenois, en passant par les guerres qui ont défiguré le territoire, jusqu'aux artistes d'aujourd'hui.
Ecrit par 35 auteurs, publié sous la direction du cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon, ce somptueux livre sur la cathédrale Saint-Jean, Primatiale des Gaules, présente à la fois l'épopée de sa construction au fil des siècles, l'édifice et ses merveilles et la riche histoire de sa vie religieuse et civile, du Moyen Âge à nos jours.
Troisième volume de la collection " La grâce d'une cathédrale ", cet ouvrage magnifique (600 photographies), à la fois documenté et grand public, est appelé à devenir le livre de référence sur la cathédrale de Lyon et, au-delà, sur l'histoire de la ville.
"La fin du chantier de restauration de la cathédrale de Chartres permet une exceptionnelle redécouverte du monument le plus emblématique de l'art gothique français. C'est à cette occasion que paraît le livre le plus complet et le plus somptueux jamais édité sur le sujet, qui présente à la fois l'épopée de sa construction au fil des siècles, la description de l'édifice et de ses merveilles ainsi que sa riche histoire civile et religieuse. Publié sous la direction de Mgr Michel Pansard, évêque de Chartres, ce septième volume de la prestigieuse collection « La grâce d'une cathédrale » (470 pages, 550 images, 4 kilos) est rédigé par 50 auteurs. Avec une mise en avant exceptionnelle des vitraux qui ont fait la renommée mondiale de Chartres. Pour les amateurs de patrimoine, d'art sacré et d'histoire de France.
Un livre de prestige, de culture et de beauté : 416 pages grand format (27 x 37 cm) 500 superbes illustrations, dont une série d'étonnantes photos originales montrant la construction d'une cathédrale au XIXe siècle, ainsi qu'un reportage photographique contemporain inédit de Pascal Lemaître .
Joseph Steib (1898-1966), modeste employé de la ville de Mulhouse, peintre amateur et totalement inconnu, a croisé la grande Histoire en 1940 après la féroce annexion de sa région au Reich nazi, révélant soudain une facette exceptionnelle de sa personnalité et de son talent. Il se métamorphosa et, dans le secret de son appartement, entreprit une oeuvre aussi violente qu'inspirée : « Le Salon des rêves ». Son opposition au nazisme, à la figure du Führer, le conduisit à une peinture radicale, hallucinée, conjuratoire : 57 tableaux réalisés entre 1940 et 1945. Une rapide exposition locale après la Libération, passée inaperçue, puis l'oubli total, la dispersion des tableaux après sa mort, jusqu'à sa découverte par un collectionneur, François Pétry, auteur du livre.
A travers la restitution du quotidien de la guerre, avec ses brimades et ses violences, et des mises en scène hallucinées et parfois cauchemardesques, Steib a décidé de faire front à Hitler. Plus que ne l'a fait aucun autre peintre de son temps, il attaque Hitler par la peinture. Chacun des tableaux est un attentat, un sacrilège extrême contre le Führer, l'Antéchrist, que Steib fait pendre, juger et descendre en enfer.
Le côté fortement transgressif de Steib s'inscrit dans la continuité formelle de la peinture de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance mais, par son esprit de révolte, il est en résonance avec la Widerstandsmalerei (peinture de résistance) des peintres allemands, vivant en Allemagne ou exilés (Dix, Grosz, Heartfield). Comme eux, et parfois davantage, Joseph Steib « cogne fort » avec ses icônes devenues emblématiques du XXe siècle.
Cet ouvrage d'exception, sans précédent ni équivalent, est le 16e dans la prestigieuse collection « La grâce d'une cathédrale ». Il est l'oeuvre de 13 auteurs, les meilleurs spécialistes : historiens, historiens de l'art, architectes, archéologues, etc. L'ouvrage est dirigé par l'archevêque de Rennes, Dol et Saint-Malo, Mgr Pierre d'Ornellas. Le sommaire est varié, synthétique, attractif. Dans une iconographie somptueuse et en partie inédite, est présentée la synthèse des connaissances les plus à jour sur la cathédrale de Saint-Malo.
Construite à partir du XIIe siècle au coeur de la cité fortifiée, la cathédrale Saint-Vincent de Saint-Malo a vécu au rythme de l'histoire de la cité des corsaires et est devenue un lieu de mémoire pour les Grands Malouins (Chateaubriand, Jacques Cartier...). Cathédrale martyre, elle été fortement détruite lors des bombardements d'août 1944. Mais, après une intense campagne de reconstruction qui s'est achevée en 1972, c'est aujourd'hui un haut-lieu de création pour l'art sacré contemporain : Jean Le Moal et Max Ingrand pour les vitraux ; Arcabas et Goudji pour le mobilier des deux choeurs.
Le livre s'adresse au grand public intéressé par Saint-Malo et par tous les passionnés de l'Histoire de France et des cathédrales. Il est enrichi de plus de 300 magnifiques illustrations : un reportage photographique inédit, de nombreux tableaux et photos anciennes. C'est un ouvrage de près de 300 pages grand format (27x37 cm), avec une reliure de prestige (toile, cuvette, fer à dorer).
Trois sites sacrés expriment les multiples facettes de l'identité et de l'histoire vendéenne : Luçon, Maillezais et Saint-Laurent-sur-Sèvre. Ils racontent la Vendée, terre de foi et de passions, champ de bataille de plusieurs guerres civiles et religieuses, mais se relevant toujours et affirmant sa fierté rayonnante, une des sources assurément du « miracle économique vendéen » du XXIe siècle.
Luçon - À la cathédrale Notre-Dame, tous les siècles sont représentés, depuis les traces du monastère fondé au VIIe siècle par saint Philbert, jusqu'au mobilier liturgique que Goudji réalisa au XXe siècle pour le choeur. L'église mère du diocèse a connu une histoire d'une richesse exceptionnelle et a notamment vu l'émergence d'un très jeune évêque, reconstructeur déterminé, qui connaîtrait un destin national : Richelieu.
Maillezais - Ancienne abbaye bénédictine au coeur du Marais poitevin, devenue cathédrale au lendemain de la fondation du diocèse de Maillezais en 1317, transformée en forteresse jusqu'à devenir un champ de ruines à la suite des guerres de Religion, a été célébrée par Rabelais et Agripa d'Aubigné et a inspiré de nombreux artistes romantiques par ses impressionnants vestiges qui en font aujourd'hui un lieu unique et majestueux.
Saint-Laurent-sur-Sèvre - Édifiée à la fin du XIXe siècle autour du tombeau de Louis-Marie Grignion de Montfort, missionnaire emblématique et maître spirituel du pape Jean-Paul II, l'impressionnante basilique néo-byzantine est un haut lieu de pèlerinage vendéen. Tout aussi spectaculaire, la Chapelle de la Sagesse est un chef d'oeuvre de l'architecture néogothique, témoignant du rayonnement mondial de la congrégation des Filles de la Sagesse.
Rédigé par 30 auteurs, publié sous la direction de Mgr Jean-Luc Bouilleret, évêque d'Amiens, ce somptueux livre sur la cathédrale Notre-Dame d'Amiens - la plus vaste de France - présente à la fois l'épopée de sa construction au fil des siècles, sa riche histoire marquée par les guerres successives, et toutes les merveilles de cet édifice que John Ruskin appelait la " Bible de pierre ", avec les stalles du choeur, les sculptures du portail, dont le Beau Dieu, ou la relique de Jean Baptiste.
Cinquième volume de la collection " La grâce d'une cathédrale ", cet ouvrage magnifique (500 pages, 600 photographies, 4 kilos), à la fois documenté et grand public, est appelé à devenir le livre de référence sur la cathédrale d'Amiens, joyau incomparable de l'art gothique.
Dans la collection « La grâce d'une cathédrale », premier opus dédié à un édifice du sud-ouest de la France, qui intègre les dernières recherches scientifiques .
35 auteurs : historiens, historiens de l'art, archéologues, théologiens .
420 superbes illustrations dont un reportage photographique de Michel Escourbiac, photographe passionné de la cathédrale d'Albi et du patrimoine midi-pyrénéen.
Le livre est composé des trois grandes parties thématiques de la collection « La grâce d'une cathédrale » :
I. L'histoire du site et l'aventure de la construction d'une cathédrale-forteresse, dédiée à Sainte-Cécile, l'une des premières martyres de Rome, dont le culte a été diffusé dès le VIe siècle. Les traces du premier lieu de culte paléochrétien sont étudiées, l'installation des premières églises, la construction en brique de l'actuelle cathédrale entre les XIIIe et XVe siècles. Et les aménagements successifs, subtils à l'époque moderne, plus conséquents au XIXe siècle sous l'impulsion de César Daly, qui présentait la cathédrale comme « un des édifices à la fois église et citadelle ».
II. Un chef d'oeuvre dans le Midi. La cathédrale Sainte-Cécile regorge de trésors uniques en Europe : les extraordinaires peintures du XIVe siècle représentant le Jugement dernier, les fresques très colorées des voûtes et des chapelles ; le jubé et le choeur des chanoines, l'un des rares conservés en France. Sont aussi évoqués des aspects peu exposés : les vitraux, l'horloge du choeur ou les cadrans solaires du baldaquin.
III. La cathédrale au fil des siècles. On y découvre la vie de ses fidèles, des grandes figures épiscopales et des serviteurs de Dieu. La dimension artistique et culturelle tient un rôle considérable. Deux exemples en témoignent : la richesse des manuscrits liturgiques, issus du travail du scriptorium d'Albi, l'un des plus anciens ateliers du Midi toulousain ; les créations contemporaines d'art sacré (Froidevaux et Goudji). Au fil des siècles, Sainte-Cécile est devenue un élément constitutif de l'identité albigeoise, aujourd'hui élevée par l'Unesco au rang incontesté d'ambassadrice universelle de la cité.
« La plus belle cathédrale de France » - selon l'historien de l'art Alain Erlande-Brandenburg - est le premier grand édifice gothique construit au sud de la Loire, dès la fin du XIIe siècle. Elle offre aux regards une majestueuse façade à cinq portails sculptés, une très originale nef sans transept et un éblouissant décor de vitraux du XIIIe siècle qui rivalise avec Chartres.
Au fil des siècles, ses archevêques, patriarches et primats d'Aquitaine, furent les relais efficaces du pouvoir central, conférant à Bourges une place éminente dans le royaume de France et dotant la cathédrale de trésors artistiques. Ainsi les nombreux vitraux du XVe siècle, dont ceux commandés par Jacques Coeur, le grand argentier de Charles VII, surnommé « le petit roi de Bourges ». Plusieurs oeuvres proviennent de la Sainte-Chapelle de Bourges, détruite en 1765, comme le gisant du duc Jean de Berry, une des pièces majeures de la sculpture du XVe siècle.
La cathédrale a été visitée par de nombreux écrivains et artistes : Balzac, Stendhal, George Sand, Ingres, Rodin, Ernst Jünger, ou encore Olivier Messiaen qui s'est inspiré de la beauté des verrières de l'abside pour composer certaines oeuvres. Disposant d'un des plus grands orgues de France, réputée pour son exceptionnelle acoustique, elle accueille de nombreux concerts ainsi que des manifestations culturelles originales, en lien parfois avec le prestigieux festival du Printemps de Bourges.
30 auteurs.
Direction : Mgr Armand Maillard, archevêque de Bourges.
Comité scientifique Emmanuel Audat, Béatrice de Chancel-Bardelot, Olivier Nauleau.
Reportage photographique : Ferrante Ferranti.
Consacrée en 1096 par le pape Urbain II, la cathédrale Saint-André est un édifice à l'architecture composite, qui combine une vaste nef unique romane (la plus monumentale de l'Ouest au XIIe siècle) avec un splendide choeur et un chevet gothiques réalisés aux XIIIe et XIVe siècles. Pour lier les deux parties de l'édifice, un transept irrégulier et complexe qui n'a pas encore livré tous ses secrets.
Une majestueuse façade nord, composée de deux portails chefs-d'oeuvre de la sculpture gothique, dont le riche portail Royal, entièrement rénové en 2015. Au XVe siècle, est construite la tour Pey-Berland, un des premiers clochers-tours flamboyant de France.
Au Moyen Âge, Saint-André s'affirme comme la Primatiale d'Aquitaine, au détriment de sa rivale Bourges. Le rôle de l'archevêque Bertrand de Got, futur pape Clément V (en 1305), est primordial. Dans les grandes heures de la cathédrale : le mariage d'Aliénor d'Aquitaine avec le futur roi Louis VII en 1137 et le mariage franco-espagnol de Louis XIII en 1615. Le XIXe siècle a été marqué par plusieurs restaurations, l'agrandissement du côté sud et le remaniement du quartier avec la démolition du cloître.
Depuis 1995, d'importantes restaurations sont menées, l'État investissant plus d'un million d'euros par an dans les travaux. Classée au Patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1998, la cathédrale a retrouvé une place au coeur de la ville de Bordeaux : les réaménagements urbains successifs (parvis, tram) ont fait de Saint-André et de la tour Pey-Berland qui la jouxte un nouveau point de convergence urbaine.
·Dans la collection « La grâce d'une cathédrale », la réunion inédite des 30 cathédrales de Provence en un seul volume ·33 auteurs : historiens, historiens de l'art, archéologues et les témoignages des 8 évêques de Provence ·550 superbes illustrations dont un reportage photographique inédit de Jean-Pierre Gobillot, photographe d'architecture et fidèle collaborateur de la collection « La grâce d'une cathédrale » et des dessins aquarellés inédits de l'archéologue et artiste Jean-Marie Gassend.
La Provence, depuis la Côte d'Azur jusqu'au Rhône et aux Alpes, n'est guère perçue comme une « terre de cathédrales » dans l'imaginaire collectif. Et pourtant, cette région profondément romanisée connut les premières traces de communautés chrétiennes organisées des Gaules.
Près d'une trentaine de cathédrales, parfois éphémères, y ont vu le jour au fil des temps. Toutes portent l'empreinte de l'époque médiévale, inspirée tant par l'austérité monastique que par le classicisme antique. Beaucoup furent marquées par la reconquête catholique dont le baroque exprime l'étourdissant programme. Enfin, les dernières d'entre elles, édifiées au XIXe siècle, sont parmi les plus récentes de France et tentent par un certain éclectisme de rendre hommage à leurs prestigieuses devancières.
Pour la première fois dans la collection « La grâce d'une cathédrale », voici un ouvrage de synthèse sur plusieurs édifices. Il est composé deux parties, la première donnant les analyses générales avant que la seconde détaille, classées par ordre alphabétique, toutes les cathédrales :
I. Les cathédrales de Provence dans l'histoire. Quatre chapitres transversaux présentent les particularités provençales : le rôle du clergé, des évêques et des événements marquants ; la place de la cathédrale dans sa cité ; l'histoire des chantiers, matériaux, métiers et techniques de construction ; les spécificités, influences et modèles, ainsi que les éléments qui caractérisent, en Provence, la cathédrale antique, romane, gothique, baroque, contemporaine.
II. Des monographies retraçant l'histoire de 30 édifices : Aix-en-Provence, Antibes, Apt, Arles, Avignon, Carpentras, Cavaillon, Digne, Embrun, Entrevaux, Forcalquier, Fréjus, Gap, Grasse, Marseille, Nice (avec Cimiez et Sospel), Orange, Riez, Saint-Paul-Trois-Châteaux, Senez (avec Thorame et Castellane), Sisteron, Toulon, Vaison-la-Romaine, Vence.
Nécropole des rois et reines de France, la basilique de Saint-Denis, édifiée au XIIe siècle par l'abbé Suger, est non seulement le premier chef-d'oeuvre de l'architecture gothique, mais c'est le monument le plus emblématique de l'Histoire de France. Y reposent, entre autres, Dagobert, Clovis, François Ier et Claude de France, Louis XII et Anne de Bretagne, Henri II et Catherine de Médicis, Louis XVI et Marie-Antoinette.
Cet ouvrage magnifique retrace l'histoire de la fondation de l'église au-dessus du tombeau de saint Denis, comme Saint-Pierre de Rome est bâti au-dessus de la tombe de Pierre, et l'aventure qui verra s'ériger une église que les rois de France éliront comme dernière demeure, et que les papes et les empereurs visiteront souvent.
Les merveilles de l'édifice gothique sont décrites : son architecture, ses 70 mystérieux gisants royaux, ses vitraux du XIIe siècle. Un tout nouveau mobilier liturgique, doté d'un étonnant faisceau lumineux rejoignant la tombe du saint, garnit le pavement imaginé par Viollet-le-Duc.
La rénovation de la ville elle-même est évoquée ainsi que le Festival de musique de Saint-Denis, les oeuvres du musée d'Art et d'Histoire de la ville et le fonctionnement de l'ancienne abbaye, devenue la Maison d'éducation de la Légion d'honneur. Cette abbaye prestigieuse, reconstruite magnifiquement aux XVIIe-XVIIIe siècles, recélait nombre de manuscrits superbement enluminés dont l'ouvrage témoigne.
Le livre aborde la place d'une cathédrale - église paroissiale devenue la figure de proue d'un diocèse créé il y a tout juste 50 ans, ouverte à tous, devenant même parfois le refuge de sans-papiers, au centre d'une ville et d'un diocèse-département (le 93) en pleine évolution, aux religions et cultures les plus variées.
La cathédrale Saint-Corentin de Quimper est le fleuron de l'art gothique breton. Publié sous la direction de Mgr Jean-Marie Le Vert, évêque de Quimper et Léon, rédigé par trente auteurs - parmi lesquels les deux grands écrivains J.M.G. Le Clezio et Philippe Le Guillou -, ce livre est le plus complet et le plus somptueux jamais édité sur la cathédrale de Quimper. Huitième volume de la prestigieuse collection « La grâce d'une cathédrale », il présente à la fois l'épopée de sa construction au fil des siècles, la description de l'édifice et de ses merveilles, ainsi que sa riche histoire civile et religieuse. Un livre d'exception, pour les amateurs de patrimoine et d'art sacré, pour les passionnés d'histoire de la France et de la Bretagne.
Qui étaient les bâtisseurs de cathédrales ? Comment travaillaient-ils ? Etalé sur des siècles, le chantier de l'une des cathédrales les plus représentatives de l'art gothique, Notre-Dame de Strasbourg, permet de comprendre les techniques ancestrales de ces hommes restés dans l'ombre. Deux historiennes de l'art spécialistes de la construction des cathédrales et un architecte révèlent l'organisation de ces chantiers et présentent, d'hier jusqu'à aujourd'hui, les métiers et les hommes. A l'occasion du millénaire de la pose de la première pierre (1015).
Des hommes, des métiers et des techniques. Le livre décrit les différents métiers sur les chantiers : architectes, tailleurs de pierre, charpentiers, fondeurs de cloche, verriers. Il présente les matériaux et les techniques pour les travailler : la pierre - le fameux grès rose à Strasbourg - et ses secrets de taille ; le bois, consommé en énormes quantités sur les chantiers pour les échafaudages, les charpentes, alimenter les fours ; la terre, avec le mortier, les briques, les tuiles ; et le métal, moins connu, mais présent partout dans les cathédrales.
L'histoire d'un chantier. Les auteurs présentent la première cathédrale (romane) de Strasbourg dont le chantier a démarré en1015, un bâtiment immense pour l'époque. Ils détaillent ensuite les étapes du grand chantier gothique, commencé au XIIIe siècle et terminé en 1439 avec l'achèvement de la flèche alors la plus haute d'Europe (142 mètres). Suivent au fil des siècles les ajouts et restaurations, parfois d'ampleur, comme la grande restauration au XXe siècle qui a évité à la cathédrale de s'effondrer. Un Millénaire de travaux ininterrompus, de passion collective, de talents conjugués, menés par une institution unique, l'oeuvre Notre-Dame, créée voici sept siècles et plus vivante que jamais.
Héritière et témoin d'une grande et riche histoire - ne serait-ce que par sa proximité avec le Louvre - l'église Saint-Roch à Paris est un haut lieu de patrimoine et de foi qui suscite l'admiration des Parisiens et des visiteurs venus du monde entier.
L'ouvrage donne à comprendre cette « paroisse des artistes » sous toutes ses facettes : histoire de sa construction décidée par une assemblée générale de paroissiens au XVIIe siècle, pose de la première pierre en 1653 par Louis XIV âgé de 14 ans, étude de ses richesses artistiques exceptionnelles, de sa beauté architecturale et de son enrichissement baroque au temps de la Contre-Réforme, analyse des trois orgues, évocation de tous les paroissiens célèbres, de Molière à Corneille, de Fragonard à Champollion, de l'impératrice Eugénie à la reine Marie-Amélie, les cérémonies et événements récents qui l'ont distinguée.
Avoir les clefs pour mieux regarder Saint-Roch, mieux la contempler, c'est le but de cet ouvrage qui n'occulte pas l'aspect sacré et spirituel du lieu. Un somptueux reportage photographique, en grande partie inédit, permet de révéler avec faste et sensibilité les beautés, parfois peu visibles, de l'édifice.
Voici le livre le plus richement illustré (plus de 600 photos !) et le plus complet jamais publié sur la cathédrale de Reims. Cet ouvrage exceptionnel d'art et d'histoire sur « la cathédrale des sacres » est composé de trois grandes parties thématiques : l'aventure de sa construction, des premiers temps chrétiens jusqu'au chantier contemporain), puis une description complète des merveilles de l'édifice (les incontournables comme les sculptures, dont l'Ange au Sourire, ou les vitraux de Chagall, mais aussi des aspects moins connus : les compositions musicales de Guillaume de Machaut, les cloches et le carillon) et enfin la riche histoire de sa vie religieuse et civile, du Moyen Âge jusqu'aux sévères mutilations provoquées par la Première Guerre mondiale et, ensuite, la beauté progressivement retrouvée.
La direction scientifique de l'ouvrage a été assurée par Patrick Demouy, professeur d'histoire du Moyen Âge à l'Université de Reims et à l'Institut catholique de Paris, assisté pour la coordination par Hervé Chabaud, rédacteur en chef à L'Union, et le Père Jean-Marie Guerlin.
Rédigé par 35 auteurs, publié sous la direction de Mgr Jean-Charles Descubes, archevêque de Rouen, ce somptueux livre sur la cathédrale Notre-Dame de Rouen, Primatiale de Normandie, présente à la fois l'épopée de sa construction au fil des siècles, l'édifice et ses merveilles - dont sa flèche en fonte, la tour Saint-Romain, le palais épiscopal - et sa riche histoire, marquée par les raids vikings, le règne de Richard Coeur de Lion et le bûcher de Jeanne d'Arc, jusqu'aux bombardements de la Seconde Guerre mondiale et la tempête de 1999. Sans oublier les travaux des écrivains et artistes que la cathédrale a inspirés : Turner, Hugo, Flaubert et, surtout, Monet.
Quatrième volume de la collection " La grâce d'une cathédrale ", cet ouvrage magnifique (500 pages, 600 photographies, 4 kilos), à la fois documenté et grand public, est appelé à devenir le livre de référence sur la cathédrale de Rouen et, au-delà, sur l'histoire de la ville et de sa région.
Depuis la bataille d'Hastings en 1066 jusqu'à la commémoration en 2014 du Débarquement en présence de la reine d'Angleterre, la cathédrale de Bayeux est un lieu symbolique de l'histoire de la Normandie, de la France et de l'Angleterre.
C'est Odon, évêque de Bayeux et frère de Guillaume le Conquérant, qui a ramené d'Angleterre les ressources nécessaires à l'achèvement rapide de sa cathédrale.
Pour l'époque plus récente, la cathédrale a été le témoin de bien des événements, comme le passage de Thérèse de Lisieux en 1887. Elle est aujourd'hui le théâtre de grandes manifestations culturelles : une exposition consacrée aux photographes de guerre, de nombreux concerts, les Fêtes médiévales, et est associée à la Tapisserie de Bayeux.