Ecrit il y a plus de vingt-cinq siècles, l'Arthashâstra propose une véritable doctrine de l'État, moderne, bienveillant et efficace. Kautilya, surnommé le Machiavel indien, porteur d'un conservatisme éclairé y défend autant le bien-être du peuple que l'autorité de son Roi.
De cet immense traité, Jean-Joseph Boillot a extrait, traduit et adapté les grands principes de la bonne gouvernance. Parfaitement intemporelles, les questions qu'il aborde sont parfois même d'une étonnante actualité. Comment choisir ses ministres et mettre à l'épreuve leur moralité ? Comment assurer la sécurité des biens et des personnes ? Quel soin porter aux finances publiques et en prévenir les détournements ? Quelle place accorder à la justice ? Qu'est-ce que la souveraineté de l'État ?
Alors que les grandes démocraties occidentales souffrent d'une profonde crise de gouvernance, que leurs dirigeants et leurs programmes ne sont plus capables d'enrayer la montée des populismes, le citoyen trouvera peut-être un peu de réconfort et le politique un peu d'inspiration à la lecture de l'un des plus grands traités de l'Inde ancienne.
En annexe des volumineuses Lettres à nos amis 2001-2014 de Christian Sautter, publiées en sept volumes publiées par Boostzone Editions, le détail - par année de référecne - des intitulés des 600 lettres ainsi que l'index des personnes cités, aideront le lecteur à se repérer plus facilement dans les thématiques abordées.
Depuis janvier 2001, Christian Sautter, après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, a envoyé, avec la complicité de Catherine Cadou, une lettre par semaine à ses amis, prolongeant la tradition de ces lettrés d'autrefois, d'avant les blogs, les tweets et autres instantanés de la communication. Ce sont autant de témoignages, d'opinions, d'analyses, toujours engagés dans notre époque. Ces hommages d'un honnête homme à la société et à la civilisation contemporaines forment une somme riche de références.
Depuis janvier 2001, Christian Sautter, après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, a décidé, avec la complicité de Catherine Cadou, d'envoyer une lettre par semaine à ses amis, prolongeant la tradition de ces lettrés d'autrefois, d'avant les blogs, les tweets et autres instantanés de la communication. Ce sont autant de témoignages, d'opinions, d'analyses, toujours engagés dans notre époque.
Pour Charles-Jean Pradelle, ancien président de Bayard Presse, « Christian Sautter fait partie de ces témoins du monde en mutation. Ses engagements sont connus et clairs. Son intégrité, sa générosité, éclatantes. Son humour peut être féroce mais sa critique est juste. Après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, il a décidé d'écrire chaque semaine une lettre sur l'actualité en France et dans le monde et de l'envoyer par internet à ses amis. Butiner les 600 lettres écrites entre 2001 et juin 2014 permet de mieux connaître la France et le monde et de mieux s'engager soi-même. »
Maîtriser l'information, se faufiler dans des réseaux toujours en mouvement, gérer la révolution permanente de l'innovation... Ces défis imposent une métamorphose de l'entreprise. A quoi ressemblera cette nouvelle Entreprise 2.0, quelle sera sa gouvernance? Ce sujet d'une actualité urgente est exploré ici à l'aide de modèles issus de la topologie et des mathématiques.
Ce court essai, écrit par un expert en organisation d'entreprise et un analyste du fonctionnement de l'innovation, dresse une image provocatrice et rafraîchissante de ce qui est sûrement le grand défi managérial du XXIe siècle.
To control information, to be able to gain access to constantly moving networks, to manage the permanent innovation revolution... These challenges call for a fundamental change in the enterprise. What will this new Enterprise 2.0 look like, what kind of governance will it need? This compellingly topical question is here explored with the aid of models drawn from topology and mathematics. This short essay, written by an expert in corporate organization and an analyst of the ways in which innovation works, takes a provocative and refreshingly unconventional look at what is indisputably the greatest management challenge of the 21st century.
Corporate governance now is strongly controlled by a «caste» of financial investors that forgets employees and other stakeholders as well as society at large. This control is a major cause of our current crisis and of a growing disbelief in modern capitalism. Why and how did this happen? A renowned American historian of management, Robert R. Locke, develops a well-argued and powerful point of view about the limits of financial investor capitalism and shows that more balanced models should be explored, like family business as well as Geman and/or Japanese corporate governance.
Elargir sa vision du management, comme le propose la réalité augmentée dans la vie quotidienne... Tout dirigeant en ressent le besoin face à la complexité croissante à laquelle il est confronté à l'intérieur et à l'extérieur de l'entreprise.
A la façon dont on rend son Smartphone plus intelligent en téléchargeant des applications, ne pourrait-on pas aider le manager dans sa mission en l'équipant de quelques outils bien pensés ?
Expert en organisation d'entreprise, Dominique Turcq propose des pistes au manager du XXIe siècle pour « augmenter » sa vision du management et faire grandir avec lui les hommes qu'il dirige.
Augmented reality broadens our vision of everyday life, so couldn't the same be achieved for senior managers as they face growing complexity both within and beyond their company? Just as a Smartphone can be made smarter by downloading apps, shouldn'it be possible for managers to work smarter by being equipped with a few smart tools ? This short essay by an expert in corporate organization suggests ways in which 21st-century managers can «augment» their vision of management - and encourage the growth of those they manage.
Dans une société numérisée où la communication des entreprises et des marques se tisse à chaque instant, au fil des réseaux sociaux, le langage du dirigeant est métamorphosé. Où se place alors son autorité ? Comment affirmer la singularité de son entreprise en gardant cohérence et pertinence quand les traditionnels repères explosent, quand chacun des collaborateurs devient storyteller, quand le consommateur peut faire et défaire une réputation en quelques posts ?
Jeanne Bordeau, styliste en langage, exhorte les dirigeants d'entreprises à prendre de toute urgence conscience que le numérique a tout changé et qu'ils doivent saisir ce que cette mutation signifie pour leur langage. Cet ouvrage pose des questions essentielles et apporte des réponses originales, fondées sur la pratique de l'auteur en langage d'entreprise, études sémantiques et créations en langage.
A travers une approche historique et contemporaine, Yvon Pesqueux, professeur titulaire de la Chaire «Développement des Systèmes d'Organisation» au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM), nous amène au coeur des débats d'aujourd'hui sur la référence au marché et ses implications. Le «moment libéral», en qualifiant une époque, suggère son épuisement et l'esquisse d'un nouvel écosystème.
Après avoir présenté les éléments constitutifs du moment libéral, l'ouvrage aborde la question de la privatisation avant d'en discuter les effets induits, liés au fonctionnement des organisations. Des éléments possibles du prochain paradigme sont proposés.
Les réseaux sociaux ont profondément modifié la façon de travailler et les « liens » entre les individus. La hiérarchie traditionnelle est à réinventer, chacun l'a compris désormais. De nombreuses thèses circulent sur ces nouvelles organisations qu'il faut créer, par exemple autour de l'entreprise « libérée » ou de la Holacratie. Les travaux de Jon Husband et du collectif The Wirearchy Commons, qu'il anime, soulignent qu'il faut accepter la complexité, la coexistence de hiérarchies verticales et horizontales, et la création par les réseaux et communautés d'espaces de pouvoir dynamiques qui ne correspondent pas aux organigrammes officiels. L'efficacité de cette wirearchie est à rechercher dans l'utilisation par tous de ces liens.
Depuis janvier 2001, Christian Sautter, après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, a décidé, avec la complicité de Catherine Cadou, d'envoyer une lettre par semaine à ses amis, prolongeant la tradition de ces lettrés d'autrefois, d'avant les blogs, les tweets et autres instantanés de la communication. Ce sont autant de témoignages, d'opinions, d'analyses, toujours engagés dans notre époque.
Pour Charles-Jean Pradelle, ancien président de Bayard Presse, « Christian Sautter fait partie de ces témoins du monde en mutation. Ses engagements sont connus et clairs. Son intégrité, sa générosité, éclatantes. Son humour peut être féroce mais sa critique est juste. Après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, il a décidé d'écrire chaque semaine une lettre sur l'actualité en France et dans le monde et de l'envoyer par internet à ses amis. Butiner les 600 lettres écrites entre 2001 et juin 2014 permet de mieux connaître la France et le monde et de mieux s'engager soi-même. »
Depuis janvier 2001, Christian Sautter, après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, a décidé, avec la complicité de Catherine Cadou, d'envoyer une lettre par semaine à ses amis, prolongeant la tradition de ces lettrés d'autrefois, d'avant les blogs, les tweets et autres instantanés de la communication. Ce sont autant de témoignages, d'opinions, d'analyses, toujours engagés dans notre époque.
Pour Charles-Jean Pradelle, ancien président de Bayard Presse, « Christian Sautter fait partie de ces témoins du monde en mutation. Ses engagements sont connus et clairs. Son intégrité, sa générosité, éclatantes. Son humour peut être féroce mais sa critique est juste. Après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, il a décidé d'écrire chaque semaine une lettre sur l'actualité en France et dans le monde et de l'envoyer par internet à ses amis. Butiner les 600 lettres écrites entre 2001 et juin 2014 permet de mieux connaître la France et le monde et de mieux s'engager soi-même. »
Depuis janvier 2001, Christian Sautter, après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, a décidé, avec la complicité de Catherine Cadou, d'envoyer une lettre par semaine à ses amis, prolongeant la tradition de ces lettrés d'autrefois, d'avant les blogs, les tweets et autres instantanés de la communication. Ce sont autant de témoignages, d'opinions, d'analyses, toujours engagés dans notre époque.
Pour Charles-Jean Pradelle, ancien président de Bayard Presse, « Christian Sautter fait partie de ces témoins du monde en mutation. Ses engagements sont connus et clairs. Son intégrité, sa générosité, éclatantes. Son humour peut être féroce mais sa critique est juste. Après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, il a décidé d'écrire chaque semaine une lettre sur l'actualité en France et dans le monde et de l'envoyer par internet à ses amis. Butiner les 600 lettres écrites entre 2001 et juin 2014 permet de mieux connaître la France et le monde et de mieux s'engager soi-même. »
Depuis janvier 2001, Christian Sautter, après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, a décidé, avec la complicité de Catherine Cadou, d'envoyer une lettre par semaine à ses amis, prolongeant la tradition de ces lettrés d'autrefois, d'avant les blogs, les tweets et autres instantanés de la communication. Ce sont autant de témoignages, d'opinions, d'analyses, toujours engagés dans notre époque.
Pour Charles-Jean Pradelle, ancien président de Bayard Presse, « Christian Sautter fait partie de ces témoins du monde en mutation. Ses engagements sont connus et clairs. Son intégrité, sa générosité, éclatantes. Son humour peut être féroce mais sa critique est juste. Après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, il a décidé d'écrire chaque semaine une lettre sur l'actualité en France et dans le monde et de l'envoyer par internet à ses amis. Butiner les 600 lettres écrites entre 2001 et juin 2014 permet de mieux connaître la France et le monde et de mieux s'engager soi-même. »
Depuis janvier 2001, Christian Sautter, après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, a décidé, avec la complicité de Catherine Cadou, d'envoyer une lettre par semaine à ses amis, prolongeant la tradition de ces lettrés d'autrefois, d'avant les blogs, les tweets et autres instantanés de la communication. Ce sont autant de témoignages, d'opinions, d'analyses, toujours engagés dans notre époque.
Pour Charles-Jean Pradelle, ancien président de Bayard Presse, « Christian Sautter fait partie de ces témoins du monde en mutation. Ses engagements sont connus et clairs. Son intégrité, sa générosité, éclatantes. Son humour peut être féroce mais sa critique est juste. Après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, il a décidé d'écrire chaque semaine une lettre sur l'actualité en France et dans le monde et de l'envoyer par internet à ses amis. Butiner les 600 lettres écrites entre 2001 et juin 2014 permet de mieux connaître la France et le monde et de mieux s'engager soi-même. »
Depuis janvier 2001, Christian Sautter, après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, a décidé, avec la complicité de Catherine Cadou, d'envoyer une lettre par semaine à ses amis, prolongeant la tradition de ces lettrés d'autrefois, d'avant les blogs, les tweets et autres instantanés de la communication. Ce sont autant de témoignages, d'opinions, d'analyses, toujours engagés dans notre époque.
Pour Charles-Jean Pradelle, ancien président de Bayard Presse, « Christian Sautter fait partie de ces témoins du monde en mutation. Ses engagements sont connus et clairs. Son intégrité, sa générosité, éclatantes. Son humour peut être féroce mais sa critique est juste. Après avoir été Ministre de l'Économie et des Finances, il a décidé d'écrire chaque semaine une lettre sur l'actualité en France et dans le monde et de l'envoyer par internet à ses amis. Butiner les 600 lettres écrites entre 2001 et juin 2014 permet de mieux connaître la France et le monde et de mieux s'engager soi-même. »
L'enthousiasme des générations Y ou Z pour la création de start-ups ou l'entrepreneuriat social reflète une appétence naturelle pour les projets porteurs de sens. Mais comment motiver ses équipes en mode projet à l'heure de la prédominance des réseaux d'intelligence collective sur le savoir individuel et du refus croissant de la hiérarchie ?
Pour vous aider à devenir un leader entrepreneurial, l'auteur vous accompagne pas à pas dans votre réflexion : comment se reconnaître en tant que leader, construire un projet engageant, incarner un projet collectif, cultiver des relations de confiance, anticiper les transitions et tirer les enseignements de son expérience.
Il livre des clés, tirées de sa longue expérience du management dans des contextes variés ainsi que de témoignages d'une quinzaine de managers et de créateurs d'entreprises.
Philippe Masson, s'est spécialisé dans l'accompagnement stratégique et le développement des équipes dirigeantes, après avoir été consultant et manager. Sa vision du leadership combine son expérience de stratège et son vécu de manager humaniste.
L'ouvrage est illustré par Lise Démoulin. Ont également contribué Bertrand Collomb (Président d'honneur de Lafarge) pour l'avant-propos, Paul Hermelin (Président-directeur général du groupe Capgemini) pour la préface et Éric Labaye (Président du McKinsey Global Institute) pour la postface.
The spectacular engagement of younger generations in the launch of start-ups or social enterprises reflects their appetite for participating in meaningful projects. The growing questioning of hierarchical authority, fueled by the increasingly relevant individual knowledge, by the rise of digital intelligence and by smart, collaborative thinking, makes the task of leading their teams increasingly difficult for managers - unless they have an engaging project to offer.
The purpose of this book is to help managers and entrepreneurs to decide whether entrepreneurial leadership suits them in their environment. It aims at preparing them for this practice, step by step: how to recognize oneself as a leader, build an engaging project, embody a collective plan, cultivate trust-based relationships, anticipate transitions and draw lessons from experience.
The author delivers key lessons, drawn from his long and diverse personal experience in management, and presents testimonials from fifteen managers and entrepreneurs.
A seasoned consultant and manager, Philippe Masson specializes today in strategic support and development of management teams. His vision of leadership combines his skills as a strategist and his experience as a humanist manager.
Paul Hermelin (Chairman and CEO of the Capgemini Group) for the preface, Éric Labaye (President of the McKinsey Global Institute) for the foreword and Bertrand Collomb (Honorary Chairman of Lafarge) for the postface also contributed to this book, illustrated by Lise Démoulin.