Pour devenir grand, il faut cesser d'être petit. Mais petit, ce gamin veut le rester, pour aller loin, longtemps. Et se promener, dans la main d'un grand, au milieu de la nature, des choses et des gens.
Ce livre nous emmène dans ce voyage à la fois surréaliste et léger au cours duquel ne manquent pas les questions que nous nous posons tous quand vient l'envie ou le besoin, de comprendre et de grandir.
Petites douceurs acidulées , est le résultat d'une analyse personnelle concernant les dérives sociétaires dont l'auteur, Frédéric Dhuême, a été victime. Les mettant en exergue, il souhaite ainsi débattre sur le fond maussade d'une société qui part en vrille et faire partager avec ses lecteurs son point de vue concernant les puissants.
De l'action des lycéens à la tendre romance d'un alcoolique en mal d'amour, en passant par l'émouvante aventure d'un chien abandonné, Contes ténus est une suite de nouvelles drôles et grinçantes.
Laurence Gaud s?impose par son style simple et agréable. Une lecture, dans laquelle, les adultes, eux aussi, trouveront leur compte.
Dans ce texte sous forme de palimpseste du célèbre essai de Guy Debord, Bertrand Mertz analyse le phénomène des réseaux sociaux dans la perspective de la société du spectacle.
Découvrez une suite de contes qui vous amène vers l'extraordinaire. Vous irez dans un monde où les humains et les animaux se respectent et travaillent ensemble.
Il n'existe qu'un seul héros humain : Martin Oisillon. Ce subtil et rusé personnage réalisera-t-il l'impossible ? Réussira-t-il à créer un monde uniquement fait pour les animaux ? Malheureusement, certaines bêtes commenceront à terroriser les autres, mais Martin, réussira-t-il à déjouer leurs plans ?
Martin réussira-t-il à surmonter toutes les difficultés qu'il rencontrera ? Les animaux réussiront-ils à posséder un monde viable, sans être dérangés ? Pour le savoir, suivez-les dans leurs folles aventures...
Sous une pluie...de pierres relate l´amour impossible entre deux êtres si proches et pourtant si éloignés, une passion d´une rare intensité qui tournera bien vite au cauchemar.
Immersion dans deux mondes que tout oppose, ce roman est une interrogation sur la condition de la femme Pachtoune, prisonnière d´une longue tradition machiste, loin de la vision occidentale des droits et des libertés.
La poésie, seul moyen d´expression pour ces femmes privées de rêves, d´espoir et de vie, y occupe une place de choix.
Lidia Bolkhovitinova propose une analyse comparative entre deux romans de la littérature russe, Le Maître et Marguerite de M. Boulgakov et La Mitrailleuse d'argile de V. Pélévine. Ce travail, basé sur un large corpus bibliographique, vise à comprendre ce qui rapproche et distingue ces textes appartenant à deux périodes distinctes du XXème siècle. Boulgakov s'inscrit dans la tradition du modernisme littéraire, tandis que Pélévine, en écrivain postmoderniste, se nourrit aussi bien des textes classiques que de la pensée critique. Contrairement à son aîné, Pélévine fait partie de la génération sacrifiée de la fin de l'ère soviétique, qui a subit l'influence du réalisme socialiste. Boulgakov, fervent opposant au stalinisme, représente pour lui un modèle littéraire absolu. L'étude révèle plusieurs proximités thématiques et narratives, comme la figure du héros écrivain au destin singulier dans lequel les écrivains se reflètent en partie. Ils prennent le parti de subvertir les règles établies de la fiction. La puissante force comique à l'oeuvre chez Boulgakov tourne davantage à l'absurde chez Pélévine. Appuyant son argumentation sur de nombreuses citations, l'auteur conclut en pointant les divergences concernant la question du salut final.
Il était une fois... Une fille de samouraï qui sauva une belle demoiselle d'un dragon... Un roi qui tomba amoureux d'un chevalier ennemi... Le premier homme sur terre qui devint ensuite la première femme. Des contes antiques de tous les continents, rassemblés ici, montrent que les histoires d'aventurières qui deviennent des princes ou de jeunes héros qui ont deux mères ont toujours existé.
Illustrations de couverture de Nathalie Fleurié
Les humains sont cruels ? Alors que dire des trolls ? Kouyout est le fruit (plutôt raté) d'un humain et d'une trolle. Il vit depuis sa naissance avec sa mère et la tribu des trolls de Mont Ukh. Mais sa moitié humaine prend parfois le dessus et s'il ne fait pas plus attention, ses frères (ou plutôt ses demi-frères) de race vont finir par le bouffer. À son grand désespoir, il n'a d'autre choix que de fuir sa patrie et de trouver sa place parmi les hommes. Mais que trouvera-t-il au-delà de Mont Ukh ?
Pour éradiquer la folie de cinq sorciers qui plongeaient le monde dans le chaos, les druides et les paladins ont lié leur magie afin de diviser leur terre en cinq mondes et de supprimer les sorciers. Au fil des siècles, les mondes retrouveraient leur sérénité et pourraient être réunifiés. Mais avant de mourir, un des sorciers a enfermé son âme dans l'arbre d'un des mondes et sa perversité se déverse à nouveau. Rox doit trouver les portails reliant les mondes les uns aux autres, les franchir, retrouver l'arbre possédé et le purifier. L'inconvénient est qu'elle n'a que 15 ans et qu'elle connaît à peine son propre monde. Alors, pourquoi elle ? Elle est la seule à avoir dans les veines du sang de druides et du sang de paladins...
Dans cet ouvrage, trois axes sont à l'étude ; à savoir l'esthétique, le mythe et la philosophie de l'image chez Roland Barthes. Le corpus y est réduit, puisque centré sur les textes suivants : Sur Racine, L'obvie et l'obtus, L'Empire des signes et surtout La chambre claire. Ces deux derniers constituent, à côté de Fragments d'un discours amoureux, des textes de prédilection.
À travers cette analyse, l'auteur a voulu faire reconnaître ouvertement et solennellement l'impact de ce penseur sur notre parcours de formation intellectuelle, mais également partager quelques réflexions sur son oeuvre, qui, selon Moumen Smihi (disciple de Roland Barthes et cinéaste marocain très talentueux), est jusqu'à présent mal comprise, du moins au Maroc.
Lueurs et silence est un recueil de poésies composé de 1984 à 2016. L'ouvrage dont la maturation a duré trente-deux ans est constitué d'une centaine de textes où se mêlent contemplations, méditations et épiphanies. Des paysages réels ou imaginaires y apparaissent sur un ton de douce mélancolie où, parfois, la légèreté de la musique peut se muer en une rage amoureuse et passionnée.
Comme l'indique le titre, les textes sont groupés en deux parties subdivisées en huit courts chapitres intitulés : « Paysages », « Corps », « Solitude », « Silences », « Nuits », « Cosmos », « Épiphanies », « Vers sibyllins ».
On peut percevoir dans ce cheminement une feuille de route qui a trouvé sa raison d'être : l'invitation à un voyage intime partant de la terre (encrages) et coulant vers l'infini, le mystère et l'inconnu...
« Depuis la découverte du feu et de sa maîtrise, l'homo sapiens a évolué vers l'homo potens, l'homme puissant, celui qui est maître et possède toutes choses.
Sa lutte infernale pour obtenir le pouvoir est restée inerte depuis des siècles et les scientifiques ont préféré ignorer cette part d'évolution. Darwin était sans doute loin d'imaginer que son primate aurait tant d'oppositions intrinsèques. ».
Un narrateur hors du commun va nous transporter dans la vie de Jacques Simon, un homme d'affaires mondain participant à un jeu de téléréalité dont le but est de changer de profession contre la vie d'un de ses ouvriers dans l'intention de démontrer qu'il sait s'adapter et rattraper leur confiance.
Jacques Simon va alors rencontrer des personnes qui par leur regard sur le monde moderne vont à tout jamais changer sa propre vision du monde.
Christelle Mansour, relate, au travers de ce récit autobiographique, son enfermement progressif dans l'anorexie à l'âge de 13 ans. Rapidement, sa vie fut totalement transformée. Le plaisir, les rires, la spontanéité, laissèrent place à une vie planifiée, sans saveur, emplie uniquement de contraintes, frustrations et rituels. Tri des aliments, mensonges, hospitalisations multiples, sport à haute dose dont elle faisait usage comme d'une drogue, repli sur soi, séquelles physiques, grande dépression : inconsciemment, elle s'érigea peu à peu une prison et s'y cloîtra pendant plus de 12 ans. Elle passa des milliers d'heures à courir... Mais courir après quoi ? Un idéal de minceur éternellement insatisfait ? Le besoin de combler un vide ? La nécessité de disparaître petit à petit pour exister ? Quoi qu'il en soit, elle qui se sentait si forte, elle qui clamait « ne pas être malade », elle qui voulait tout contrôler, dut se résoudre à accepter l'évidence : l'anorexie la dépassait. Aussi, grâce à l'aide de thérapeutes, elle a su emprunter le chemin de la guérison, et livre aujourd'hui, dans Poutoune, le témoignage d'une jeune femme, victime, à une période fragile de son existence, des canons que nous impose la société.
Avec A contre-jour, Elodie Haslé nous invite en voyage à travers des pages aux paysages divers : rieurs, ensoleillés, accidentés ou harmonieux. Ainsi, pour les petits et grands des poésies légères, tendres et drôles, célébrant l'enfance, l'amour et les bonheurs au quotidien. Pour les grands en particulier, des textes graves non dénués pour autant d'optimisme, dans lesquels l'auteure évoque les épreuves de la vie.
Dans la cause "Mégafaûne" Lieu festif, Excessif, Dans la nuit, Dans le bruit, Dans l'alcool, En quartier Habité En zone Protégée.
Partir et Rester, Vouloir et Pouvoir, tels sont les thèmes abordés dans ce roman inspiré de faits réels survenus quelque part en Afrique.
Daniel, logisticien marseillais, farfelu au grand coeur, raconte l'histoire de Julien Bonnaux. Ce dernier est médecin responsable d'une mission qu'il coordonne de son mieux. Au fil des événements dramatiques qu'il vivra, il verra ses idéaux mis à mal.
L'humanitaire est ici abordé sous une autre facette. Rien n'y manque : action, émotion, intrigue amoureuse.
Avec l'aide des huit magiciens de l'ordre de Mïakona (Psyché, Cupidon, Leila, Arès, Black, Dimitri, Sibylla et Ravel), Cristal va devoir retrouver quatre objets magiques ayant appartenu à son père, le magicien Merlin.
Elle devra retrouver dans l'ordre : la harpe Alyn, la carte des milles lieux, la dernière baguette Mïako et le grimoire rouge de Merlin.
Sans cela, elle ne pourra retrouver sa mémoire ni réveiller la magie de Merlin.
Avec l'aide des huit disciples de Merlin, Cristal affrontera les dangers de l'autre monde, celui qui se trouve derrière le miroir....
Le Printemps de la Fée Cassandre se passe à l'Habitation Leclerc, un des plus luxueux hôtels du monde des années 70, ancienne propriété de Pauline Bonaparte et du Général Leclerc, situé dans un quartier misérable de Port-au-Prince. C'est l'histoire d'une mère et de sa fille qui seront emportées par la dure réalité du pays. « J'ai lu ton manuscrit dans la semaine même où je l'ai reçu et je me suis laissé prendre à l'atmosphère du récit qui est portée par une langue magnifique où la poésie est présente à chaque ligne(.). Les autres personnages, si différents dans leurs trajectoires, ne constituent pas de simples arrière-plans ; ils sont d'une remarquable force. » Francis CAROLE, Professeur de Lettres et d'Histoire « La gageure que cherche à surmonter Michèle CAZANOVE n'est pas des moindres. Celle-ci pose le problème du prisme que l'art opère à travers le regard posé sur la réalité. Son écriture revendique ouvertement un art habité par le merveilleux.Scarlett Jésus - Inspectrice d'académie de Lettres, Critique d'art. « Pour moi, le sujet est la découverte par Alice de l'horreur et de la misère du peuple haïtien, asservi par un régime policier. Elle ignorait tout de cela à son arrivée, ou avait décidé de n'en rien savoir, mais l'évidence ne pouvait pas ne pas l'atteindre peu à peu et les amis qu'elle y a rencontrés lui faisaient partager leur colère et leurs luttes clandestines. L'écriture est vive, vraie, jamais fabriquée, et correspond, sans doute, à la personnalité de l'auteur dont on aperçoit la révolte derrière un fond paisible et presque insouciant. ». Jean Léon Donnadieu, Ancien Directeur Général de BSN-Danone, retraité, écrivain. Il est le cousin germain de Marguerite Donnadieu, alias Marguerite Duras.