?Athènes, 396 avant J.-C.
Trois ans après la condamnation à mort de Socrate, ses disciples les plus proches reçoivent une mystérieuse pièce en guise d'invitation à un banquet clandestin. Qui les a invités ? Dans quel but ? Socrate est-il bien mort ? C'est l'occasion pour eux d'essayer d'établir la vérité sur celui qui fut leur ami, leur maître, et le père de la philosophie.
En 1347, une maladie inconnue frappe l'Europe...
Un mal aux origines mystérieuses Baldus, jeune membre de l'ordre des chevaliers hospitaliers, navigue en mer Méditerranée au large de Rhodes lorsque son navire croise le chemin d'une galère byzantine à la dérive. Les Hospitaliers l'abordent et ne trouvent à son bord que des cadavres rongés par un mystérieux mal : la pestilence. Alors qu'ils s'apprêtent à rejoindre leur navire pour fuir la maladie, un cavalier émerge sur le pont de la galère et décime ses frères d'armes.
De son bataillon, seul Baldus survit miraculeusement à l'attaque.
Des côtes calabraises aux montagnes du Vercors, s'engage alors une coursepoursuite effrénée à travers une Europe ravagée par ce mal inconnu. Au fil de sa fuite, Baldus s'enfonce dans sa propre folie et découvre celle des hommes.
Dans le premier tome de La Grande Peste, Baldus et Alixe ont sillonné l'Italie du nord au sud pour échapper, l'un à la folie des hommes, l'autre à sa propre folie. Enfin réunis, leur périple va maintenant les mener à travers une France ravagée par la maladie et la guerre de Cent Ans.
La course folle de Baldus et Alixe pour briser la malédiction dont ils se croient affligés les mènera tour à tour dans les souterrains du palais des papes en Avignon, dans les quartiers populeux et prospères de Strasbourg, jusqu'à la ville d'Ardres, proche de Calais, où ils seront les spectateurs d'une bataille épique opposant l'armée du roi de France, Philippe de Valois, aux troupes du roi Édouard III d'Angleterre.
Le chef-d'oeuvre d'Émile Zola adapté par Éric Stalner dans le fabuleux décor parisien d'Haussmann.
Voici ce que disait Émile Zola à propos de La Curée, deuxième volume de l'oeuvre de sa vie, Les Rougon-Macquart :
« L'or, c'est Aristide Saccard. Arrivé pauvre et républicain à Paris, en 1852, au lendemain du coup d'État portant Napoléon III au pouvoir, il embrasse l'Empire avec l'avidité d'un oiseau de proie. Il veut saigner Paris, se repaître de l'or qui coule dans les veines de la capitale bouleversée par les travaux haussmanniens. Et pour cela, il doit jouer le jeu de l'Empire et gravir l'échelle sociale. Sans hésitation, il va tricher, voler, mentir et manipuler. Tous et toutes, et surtout celles et ceux qui lui sont le plus proches. »
Le manuel du parfait arriviste dans le Paris d'Haussmann. Un scénario signé Émile Zola.
Octave Mouret a 22 ans. D'aspect très soigné, il arrive à Paris tout frais débarqué de sa ville de province, Plassans (une ville inventée par Zola), avec l'appétit d'un jeune loup prêt à dévorer la capitale. Dans le Paris en pleine transformation haussmannienne, un couple d'amis de ses parents, les Campardon, va l'accueillir et le loger dans une maison neuve avant de lui trouver un emploi dans une petite boutique alors sans prétention, Au Bonheur des Dames. Octave Mouret en fera le premier « grand magasin » de Paris...
Ici ce n'est pas l'argent qui est le ressort de la critique de la bourgeoise mais le sexe, centre des relations humaines. Éric Stalner nous livre un travail jubilatoire de mise en scène de personnages.
Une formidable galerie de portraits.
Des grandes dates pour tout comprendre.
60 dates racontées par un historien.
Une grande fresque illustrée.
L'Histoire se déploie sous nos yeux.
Les guerres de Religion gangrènent la France dans sa totalité. Le fanatisme s'instille patiemment, incontrôlable, dévastateur, aveugle. En 1562, Elie de Sauveterre, un jeune protestant, rejoint l'armée du prince de Condé pour retrouver son frère et sa sueur enlevés par les papistes. Des premières escarmouches au déchaînement ultime de la Saint-Barthélemy, emporté comme les autres par cette vague de violence frénétique, il sera bien malgré lui le héros de cette histoire-là.
Scipio, qui détient entre ses mains Élie blessé, se rappelle alors d'un drame qui a eu lieu vingt ans plus tôt et qui, aujourd'hui, a de funestes répercussions : à l'époque, il se battait aux côtés de François de Sauveterre, le père d'Élie, dans l'armée du roi Henri II. Lorsqu'en revenant de la campagne d'Allemagne de 1552, François le présenta à son épouse, Aude, la mère d'Élie, ce fut le coup de foudre...
Cette série est l'histoire d'une fratrie que les guerres de religion vont séparer dans un premier temps, puis opposer lors du massacre de la Saint-Barthélemy.
Ces quelques jours d'août 1572 font basculer Paris dans l'horreur.
PARIS, 24 AOÛT 1572, CINQ HEURES DU MATIN Le tocsin de la cloche de l'horloge du Palais donne le signal du massacre. Aucun huguenot, homme, femme ou enfant, ne doit survivre à cette journée placée sous le signe de la colère de Dieu.
Les catholiques deviennent fous et tuent sans répit pour honorer un créateur auquel les hérétiques ne rendent pas correctement grâce.
À travers les rues pavées de Paris, Élie Sauveterre, jeune protestant, évite la mort qui le guette à chaque coin de rue et tente de rejoindre son roi, Henri de Navarre, reclus au Louvre. Son chemin croise à nouveau celui de son jeune frère Clément, devenu catholique fanatique à la solde du duc de Guise.
Pendant ce temps, Charles IX, tente de reprendre la main sur une situation qu'il a lui-même provoquée mais assiste, impuissant, au carnage.
Lundi, 25 août 1572.
« Arrive un moment où la question de tuer au nom de Dieu ne se pose plus... Nous tuons, nous prions... et nous recommençons... » Les guerres de Religion gangrènent la France dans sa totalité. Le fanatisme s'instille patiemment, incontrôlable, dévastateur, aveugle.
En 1562, Élie de Sauveterre, un jeune protestant, rejoint l'armée du prince de Condé pour retrouver son frère et sa soeur enlevés par les papistes. Des premières escarmouches au déchaînement ultime de la Saint-Barthélemy, emporté comme les autres par cette vague de violence frénétique, il sera bien malgré lui le héros de cette histoire-là.