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Entreprise, économie & droit
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Lettre ouverte aux gourous de l'économie qui nous prennent pour des imbéciles
Bernard Maris
- Points
- Points Économie
- 25 October 2024
- 9791041415489
Lettre ouverte aux gourous de l'économie qui nous prennent pour des imbéciles
Voici la nouvelle édition d'un pamphlet best-seller contre l'absurdité du discours économique néolibéral dominant dans certains médias, au sein des institutions financières internationales et chez les « experts » autoproclamés d'instituts privés de prévision. Cet ouvrage unique en son genre associe les vertus d'un livre pédagogique et la vivacité d'une « lettre ouverte » traversée par un humour au vitriol. On y trouve notamment explicités de façon lumineuse les impasses du modèle néoclassique, l'impossibilité des prévisions économiques, les crises financières récurrentes, les méfaits des interventions du FMI dans les pays en développement, etc.
La présente édition est augmentée d'une présentation inédite de l'auteur et du livre par Gilles Raveaud, maître de conférences à l'université de Paris-VIII où il fut longtemps le collègue de Bernard Maris. -
L'avenir du capitalisme est le texte intégral et inédit de la conférence que Bernard Maris prononça à l'Institut Diderot, il apparaît comme la quintessence de la pensée de feu Oncle Bernard. Dans ce court essai, Bernard Maris apporte un éclairage limpide et efficace sur la « puissance la plus décisive de notre vie moderne », le capitalisme. De ses plus lointaines origines à son état actuel, l'auteur définit et retrace avec brio l'évolution du modèle économique de référence de nos sociétés. Avec une ouverture pleine d'espoir pour le dépasser.
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Antimanuel d'économie Tome 1; les cigales
Bernard Maris
- Bréal
- Antimanuel
- 18 February 2020
- 9782749539492
Traquant les fioritures et les pseudo-concepts, ce premier tome de l'Antimanuel permet à chacun de s'armer pour comprendre la harangue des chefs de la guerre économique. Sur un ton léger mais incisif, Bernard Maris convoque tour à tour des économistes de Keynes à Stiglitz, mais aussi, plus inattendus, des philosophes ou des romanciers. Ensemble, ils posent un regard neuf sur une discipline réputée austère et répondent à des questions fondamentales : qu'est-ce que la valeur ? la monnaie ? la richesse ?
Ce tome 1 est paru en 2003 et reste d'actualité. Thomas Piketty le préface en 2020.
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Antimanuel d'économie Tome 2 ; les cigales
Bernard Maris
- Bréal
- Antimanuel
- 18 February 2020
- 9782749539508
Traquant les fioritures et les pseudo-concepts, ce premier tome de l'Antimanuel permet à chacun de s'armer pour comprendre la harangue des chefs de la guerre économique. Sur un ton léger mais incisif, Bernard Maris convoque tour à tour des économistes de Keynes à Stiglitz, mais aussi, plus inattendus, des philosophes ou des romanciers. Ensemble, ils posent un regard neuf sur une discipline réputée austère et répondent à des questions fondamentales : qu'est-ce que la valeur ? la monnaie ? la richesse ?
Ce tome 1 est paru en 2003 et reste d'actualité. Thomas Piketty le préface en 2020.
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Etudie l'économie et la crise de la société contemporaine à travers le prisme de la littérature de l'auteur contemporain.
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Capitalisme et pulsion de mort
Bernard Maris, Gilles Dostaler
- Pluriel
- 8 September 2010
- 9782818500033
La crise contemporaine, remettant en cause le dogme des marchés infaillibles, suscite un regain d'intérêt pour les auteurs qui insèrent l'économie dans une réflexion anthropologique plus ample et jugent réductrices les anticipations qui misent sur un individu calculateur et rationnel.
Tel fut le cas de Keynes, mais aussi de Freud, dont les intuitions se croisent, comme le montre cet ouvrage. L'énergie motrice du capitalisme est celle de la pulsion de mort, au sens freudien, heureusement mise au service de la croissance. Mais celle-ci n'est-elle pas en train de rencontrer une inflexion majeure ? La course sans fin à une production qui n'est plus régulée par la satisfaction des besoins, mais mue par la seule espérance de gains futurs, ne dessine-t-elle pas un avenir de destruction plutôt que d'abondance ?
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« Ce «magnifique pays d'assistés», c'est ainsi que nous voit The Guardian de Londres. Pays de fonctionnaires, de retraités, de profiteurs de l'État-providence. Certes, The Guardian reconnaît que grâce au système de Sécurité sociale il y a moins d'écart entre les riches et les pauvres en France qu'au Royaume-Uni ; mais ce système de providence étatique diminue notre esprit de conquête. Refus du risque égale rente, égale peur ? Bureaucratie égal inefficacité ? Vraies ou fausses questions ? Elles sont au coeur des reproches des patrons, qui ne cessent de râler contre les formulaires qu'on leur demande sans cesse de remplir et contre cette bureaucratie... qui ne se laisse pas faire. » Ce mélange unique d'histoire économique, de liberté pamphlétaire, de traditions bousculées, de foucades, de bagarres utiles ou de mécontentements joyeux : c'est la parole de Bernard Maris, et son regard incomparable. Mais oui, souriez, vous êtes français ! Traversez notre beau et bizarre pays, comprenez-le, aimez-le, changez-le !
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Marx, ô Marx, pourquoi m'as-tu abandonné ?
Bernard Maris
- Flammarion
- Champs Actuel
- 6 October 2012
- 9782081286399
Marx a tout expliqué, tout analysé à la perfection. Mais il s'est complètement trompé sur ses conclusions. La plus-value, la baisse tendancielle du taux de profit, la loi de la concentration, la mondialisation : tout est lumineux, tout est parfaitement actuel. Mais le capitalisme n'accouche de rien, sinon d'une société cynique et désabusée, tournant sur elle-même dans un univers saccagé sous le fouet du marché.
Le communisme, lui, n'est qu'un christianisme athée, une rédemption des humbles, une version kitsch de l'Évangile, où l'argent, après avoir remplacé Dieu, serait à son tour aboli par la fraternité.
Marx est mort, et le socialisme aussi. Enfin, nous pouvons penser le monde !
Après une analyse très pédagogique de la pensée économique de Marx, Bernard Maris montre l'impasse définitive où conduisent ces théories remarquables autant qu'impuissantes, et donne des clefs pour analyser la mondialisation... Et pour envisager un au-delà du capitalisme.
Création Studio Flammarion
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Renommé pour son approche polémique du discours économique et pour son style incisif, Bernard Maris pose, dans son Antimanuel d'économie, un regard neuf sur les sciences économiques et sociales. Sa lecture stimulante des thèmes clés de l'économie, au travers d'une sélection originale de textes de grands économistes (Marx, Galbraith, Keynes), de romanciers (Maupassant, Nothomb) et de philosophes (Nietzsche), saura enthousiasmer ses lecteurs pour cette science essentielle à la compréhension du monde contemporain.
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A l'heure oú les petits épargnants craignent que la crise financière ne fasse partir en fumée leurs économies, oú les salariés et patrons guettent le " tsunami " de récession qui traverse la planète, tous écoutent et tentent d'analyser les discours des politiques et des économistes.
Ce petit livre est une sorte de lexique. un outil de traduction du discours économique, un décryptage amusant de sa rhétorique.
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Keynes ou l'économiste citoyen
Bernard Maris
- Presses de Sciences Po
- La Bibliotheque Du Citoyen
- 6 September 2007
- 9782724610376
jamais sans doute la prégnance de l'économie n'a été aussi forte dans la vie politique et sociale, et jamais la pensée de keynes n'a autant été d'actualité et aussi mal comprise.
au-delà des trop connues politiques de relance macro-économiques et de lutte contre le chômage, le message de keynes est une conception totalement originale des rapports de l'économie et de la société. aux sources de l'analyse keynésienne se trouve une réflexion singulière sur la psychologie des hommes et leurs rapports à l'argent, une théorie particulière de l'avenir et de l'incertitude, et partant de la justification du profit, une conception révolutionnaire du marché.
keynes peut nous enseigner aujourd'hui comment l'économie, qui semble s'être provisoirement émancipée de la société, peut à nouveau redevenir citoyenne et civilisée.
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Des économistes au-dessus de tout soupçon ; ou la grande mascarade des prédictions
Bernard Maris
- Albin Michel
- 1 January 2016
- 9782226321763
L'économiste, en cette fin de XXe siècle, a, dans notre société, le statut du médecin au XVIIe. Les Giscard, Barre, Stoleru, Bérégovoy, Attali et autres Fabius sont les descendants directs des Diafoirus père et fils. Nous nous en doutions, Bernard Maris le démontre, preuves en main.
Née de l'utilité, l'économie est devenue la science de l'inutile. Une fausse science au demeurant, plutôt l'exercice préféré des casuistes contemporains. Comme leurs religieux prédécesseurs, ils nous racontent savamment des choses invérifiables. Ils se sont progressivement installés dans une fonction magique, substituant la dictature du chiffre au discours politique et tarissant ainsi le débat démocratique.
Bernard Maris traque les sophismes, lieux communs, approximations, contre-vérités qui constituent la trame des oracles que nous dispensent nos économistes. Une oeuvre salubre et réconfortante. Enfin nous pouvons rire, sans fausse honte, de nos pontifiants mentors.
Bernard Maris, 43 ans, est docteur d'État ès sciences économiques, maître de conférence à l'université des Sciences sociales de Toulouse et chroniqueur au mensuel Dynasteur.
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La Bourse ou la vie : la grande manipulation des petits actionnaires
Philippe Labarde, Bernard Maris
- Albin Michel
- 19 April 2000
- 9782226115461
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Gouverner par la peur
Bernard Maris, Roger Sue, Georges Vigarello, Leyla Dakhli
- Fayard
- Transversales Fayard
- 28 February 2007
- 9782213632872
De toutes parts montent les discours de la peur, des peurs. Peur de l?insécurité, de la précarité, du chômage.De la violence, de la marginalisation, d?être délocalisé.Peur de l?ouvrier chinois, du plombier polonais, de soncollègue de travail, du terroriste. Peur aussi de ce quel?on mange, de ce que l?on boit, de son corps. Peur duchangement climatique. Peur intime et peur publique.Peur de tout.Cette montée de la parole collective sur l?angoissepourrait être positive : connaître et énoncer ses peurs,c?est déjà les combattre. Il suffirait de changer deregard, de déchausser les lunettes de la morositéambiante pour prendre une mesure apaisée des évolutionspositives comme des risques encourus par nossociétés contemporaines. Or c?est tout le contraire quise passe : loin de se réduire, nos peurs grandissentchaque jour un peu plus. Pourquoi a-t-on tant de malà les affronter, dans un contexte qui est loin de s?êtreautant détérioré qu?on voudrait nous le faire croire?L?exploitation de l?angoisse rapporte, et parfoisbeaucoup, au sens propre. Mais qui a intérêt à gouvernerpar la peur ? Quelles formes de résistance et quellesalternatives peut-on y opposer ?
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