La chaire ESSEC du Changement et l'Institut indien de recherche en management Firebird vous proposent une lecture du changement et plus généralement du management dans la culture indienne au travers de deux oeuvres majeures anciennes que sont Arthashastra et Thirukkural.
Dans la culture indienne, le monde apparaît comme circulaire au travers de la notion de réincarnation mais aussi de la dimension protéiforme des divinités. Le changement peut être défini comme la tension qui naît des contraires. En situation de changement, tout un chacun vit un dilemme entre des oppositions qui s'équilibrent. La notion binaire (bien/mal) est remplacée par un jeu ternaire entre une destination, l'énergie et l'attachement. La gestion du changement consiste à équilibrer les forces en présence. En lien avec l'objectif de sagesse, cette capacité à équilibrer les forces se fait par l'éducation et l'expérience.
Un livre à méditer pour avoir une autre vision du changement et comprendre la culture et les entreprises indiennes.
Quels sont les secteurs aujourd'hui qui ne sont pas encore impactés par le digital ?
L'émergence des modes collaboratifs et des applications dédiées appelées Civic Tech montre que la sphère publique est concernée tant par la recherche d'efficacité de son action qu'au titre de la participation.
On parle dorénavant de démocratie participative digitale pour signifier des dispositifs participatifs et digitaux dans l'environnement public. Cela regroupe une multitude d'actions très disparates qui sont autant d'expérimentations pour nos futurs systèmes de gouvernance, systèmes qui sont au coeur de la démocratie et de la liberté.
Ce livre propose une analyse de la participation dans les systèmes publics ainsi qu'un panorama à date des offres digitales des Civic Tech.
A partir de l'expérience de la ville d'Angoulême sur les projets participatifs digitaux, ce livre interroge le lecteur sur la place de la participation dans la vie publique et ce que pourrait être la démocratie participative digitale.