La Chine n'est plus seulement l'empire du milliard, une vieille nation anesthésiée par un siècle de déclin, quarante ans d'anarchie puis trente ans de communisme révolutionnaire, un parent pauvre, porteur d'une vague menace démographique. Après un quart de siècle de croissance à marche forcée, la Chine est devenue un acteur important du commerce international, le premier pays d'accueil des investissements étrangers, le pôle le plus dynamique de l'économie mondiale. On ne lui promet plus un hypothétique réveil mais, avec un peu de présomption, dans un avenir prévisible, le rang de première puissance économique. Entre croissance économique et augmentation des inégalités sociales, réformes libérales et maintien du Parti communiste, cet ouvrage dresse le tableau de l'économie de la Chine.
Pendant plus de deux cent ans, à partir de l'ordonnance de fermeture du pays de 1639, le Japon de l'époque Edo (1603-1868) restreint drastiquement les échanges avec le monde extérieur. Après la signature de traités commerciaux avec les États-Unis et l'Europe en 1858 mais surtout à partir de la restauration de Meiji (1868), le gouvernement adopte une politique d'industrialisation du pays et promeut l'introduction des idées occidentales. Les étrangers qui se rendent alors au Japon ont laissé des descriptions détaillées du pays et de ses habitants.Le naturaliste américain Edward S. Morse note dans Japan Day by Day que les citadins contournent ou enjambent les chiens et chats se prélassant au milieu de la route pour ne pas les déranger, et utilisent pour les appeler le suffixe honorifique « san » (équivalant à « Monsieur » ou « Madame »). Le peintre et dessinateur français Georges Bigot (1860-1927), qui séjourne au Japon à partir de 1882 a laissé un grand nombre d'oeuvres pleines d'humour, d'animaux et de gens. Une longue période de paix et de stabilité donne aux habitants de Tokyo le loisir de profiter de la vie et se divertir. On s'entoure volontiers d'animaux de compagnie : petits chiens et chats,de petits oiseaux tels les rossignols et les cailles, ou encore des insectes dont on apprécie le chant, comme les grillons et les criquets. Les habitants d'Edo, ville à la topographie riche en collines, rivières, et ouverte sur la mer, vivent en lien avec la nature et des rites saisonniers marquent le déroulement de l'année alors que les changements de saison offrent de nombreuses occasions d'admirer de superbes paysages naturels tout proches. D'abord figurines d'argile de sangliers ou autres, sous l'influence de la civilisation chinoise, les animaux sont ensuite représentés sous des formes fantastiques venus du continent comme les phénix et les dragons font leur apparition de même que des animaux que l'on ne trouvait pas au Japon, tels les tigres et les paons. L'épanouissement d'une civilisation raffinée basée sur une esthétique proprement japonaise se démarque de la culture et de l'art chinois : les animaux se mettent alors à représenter l'esprit d'une saison ou à symboliser des récits traditionnels japonais. Avec le développement, en littérature, de jeux de mots basés sur les sons et le sens de la langue japonaise, on apprécie les dessins d'animaux synonymes de bon augure en raison de leurs noms ou de la façon de les écrire. Ainsi, à l'époque Edo, la puissance financière nouvelle de la classe commerçante stimule la naissance d'une véritable culture citadine et le raffinement de divers objets de la vie quotidienne : les motifs décoratifs représentant des animaux évoluent vers une plus grande liberté de conception et des variation plus riches.
1421 suit les traces de Zheng He, l'amiral chinois du XVe siècle qui, à la tête de sa flotte, aurait découvert l'Amérique 70 ans avant Christophe Colomb, l'Australie 350 ans avant Cook, et réussi le tour du globe un siècle avant Magellan. Gavin Menzies déroule l'histoire à la manière d'un roman policier, où l'on suit les balbutiements de la navigation astrale dans l'hémisphère sud et l'avancement incroyable de la technique maritime orientale juste avant le grand isolement chinois. 1421 est une enquête au long cours qui finit par nous apprendre une vérité commodément oubliée depuis plus de 500 ans : les grands navigateurs européens n'étaient sans doute que des nains juchés sur les épaules des géants asiatiques qui les avaient précédés.
Initiée par le mouvement international de la K-Pop, musique coréenne inspirée du hip-hop et du RnB, et par le succès des groupes comme BTS ou BlackPink, la culture du pays du matin calme n'a cessé de s'étendre, jusqu'à devenir un phénomène mondial.
Cinéma, série, musique, beauté, mode de vie... la culture coréenne ne cesse de se renouveler et n'a pas fini de surprendre.
Dans ce livre, Ophélie Surcouf, journaliste spécialiste de la pop culture et de la Corée, décortique la Kpop culture, son histoire, ses influences, ses codes et son expansion.
Le XXe Congrès du PCC, qui s'est tenu en octobre 2022, a confirmé le caractère totalitaire de la Chine de Xi Jinping. Donnant à voir le pouvoir sans partage de son dictateur, l'omniprésence et l'omnipotence d'un parti désormais unifié et la persistance de ses ambitions globales, il marque l'entrée dans une période d'hubris et de crispation où les ressorts de l'adaptation du régime, jusque-là garants de sa pérennité, sont remis en cause. On observe un décalage croissant entre l'ambition de toute-puissance, les concepts-clés du régime et le pays réel, en proie au ralentissement économique. Le dossier de novembre, coordonné par la politologue Chloé Froissart, pointe ces contradictions : en apparence, le Parti n'a jamais été aussi puissant et sûr de lui-même, mais en coulisse, il se trouve menacé d'atrophie par le manque de remontée de l'information, la demande de loyauté inconditionnelle des cadres, et par l'obsession de Xi d'éradiquer plutôt que de fédérer les différents courants en son sein. Des failles qui risquent de le rendre d'autant plus belliqueux à l'égard de Taiwan. À lire aussi dans ce numéro : Le droit comme oeuvre d'art ; Iran : Femme, vie, liberté ; Entre naissance et mort, la vie en passage ; En traduisant Biagio Marin ; et Esprit au Portugal.
QUE VEUT LA CHINE ? TOUT.
La domination économique, le renforcement d'un régime de plus en plus autoritaire et paranoïaque, la soumission de sa population, l'effacement de tout principe humaniste... La Chine veut imposer ses propres règles à tous, dans son unique intérêt. Et elle ne s'en cache pas.
QUELS MOYENS MET-ELLE EN oeUVRE POUR Y PARVENIR ? TOUS.
De la répression violente au kidnapping d'opposants, du massacre de minorités comme les Ouïghours et les Tibétains à l'espionnage généralisé à l'intérieur de ses frontières comme dans le monde entier, la Chine ose tout. Et là encore, le pouvoir en place avance à peine masqué.
Pour bien comprendre le péril que représente la Chine aujourd'hui, il est indispensable de mieux la connaître, de cerner le plus précisément possible ses ambitions, ses dérives mais aussi ses faiblesses évidentes. Six grands spécialistes qui étudient ce pays depuis de nombreuses années ouvrent ici le Dossier chinois. Qu'il s'agisse de surveillance à grande échelle, de contrôle des individus, d'écologie, d'économie ou encore de la question du droit des femmes, ils dressent un bilan lucide, précis, chiffré, bien loin du relativisme teinté d'angélisme si fréquent au sujet de la Chine. Un ouvrage essentiel et réaliste pour en finir avec les visions naïves et les idées fausses.
Quelques oeufs de ver à soie et graines de mûrier... et voilà qu'un secret jalousement gardé en Chine pendant des millénaires finira par être divulgué au-dehors de la Grande Muraille, ce qui entraînera la chute de la puissante dynastie des Han.
Nous sommes au IIIe siècle de notre ère, et la « petite voleuse de la soie » s'appelle Étoile du Nord. Menacée de mort, cette brodeuse aux doigts d'or fera le bonheur d'un roitelet du Khotan et la richesse de cette oasis, l'un des plus anciens pays bouddhistes.
Jusqu'à ce qu'un coup de foudre ne vienne tout renverser...
Que fait-elle là, toute seule, sur sa balançoire ? Alors qu'Izumi, comme à chaque Nouvel An, vient rendre visite sa mère, c'est au milieu du parc voisin qu'il la trouve, déboussolée... Tout à son travail et à son enfant à naître, le jeune homme n'y prend pas garde au premier abord. Avant de se rendre à l'évidence : Yuriko, qui l'a élevée seule, perd peu à peu la mémoire... Les médecins confirment qu'elle est atteinte d'Alzheimer. Dès lors, toutes ces choses qu'Izumi a oubliées lui reviennent du passé - les belles choses dont il va falloir, désormais, se souvenir pour deux...
Dans cette somme magistrale, Peter Frankopan élargit la perspective du récit traditionnel et occidental de l'histoire mondiale pour se tourner vers «une région qui va des rives orientales de la Méditerranée jusqu'à la mer Noire et à l'Himalaya».C'est là, au carrefour des civilisations, qu'il situe le centre névralgique du globe. Et c'est les yeux rivés sur ce «coeur du monde» que, des campagnes d'Alexandre le Grand aux luttes géopolitiques du XXI? siècle, il retrace avec brio 2500 ans d'histoire.Voyage grisant à travers les siècles, Les Routes de la soie éclaire d'une lumière nouvelle notre rapport au monde.
Empire du Japon, époque Heian, XIIe siècle.
Après le décès brutal de son mari Katsuro, pêcheur de carpes et fournisseur des étangs sacrés de la cité impériale, Miyuki doit prendre sa place pour porter jusqu'à la capitale les beaux poissons aux écailles éclatantes.
Chaussée de sandales de paille, courbée sous la palanche à laquelle sont suspendus ses viviers à poissons, Miyuki quitte pour la première fois son village et entreprend un périple à travers forêts et montagnes. Sur son chemin elle passera de temple en maison de rendez-vous, elle affrontera orages et séismes, la trahison des brigands et la cruauté des mères maquerelles, mais aussi la fureur des kappa, montres aquatiques qui jaillissent de l'eau pour dévorer les entrailles des voyageurs...
Avec force et poésie, encre et couleurs, redécouvrez l'immense roman de Didier Decoin et son héroïne inoubliable Miyuki.
La gouvernance de plus en plus totalitaire du régime chinois se voit aujourd'hui fortement contestée, notamment en Occident. En revanche, la Chine, en tant que civilisation, fait l'objet d'une étrange complaisance.
Et pourtant, le « système de crédit social », la volonté de « siniser » les religions, de « rééduquer » les peuples non hans comme les Ouïghours, l'obsession de la « pureté » idéologique, la lutte contre le « démon » de la pandémie ne se comprennent que si nous acceptons de regarder sans pudeur la culture chinoise et la façon dont elle imprègne la Chine contemporaine.
C'est précisément ce que fait Emmanuel Dubois de Prisque dans ce livre. S'inspirant des travaux de René Girard, il montre que la politique chinoise obéit à des rites sacrificiels dont le souverain est à la fois le grand prêtre et la victime potentielle - des premiers empereurs jusqu'à Mao Zedong ou Xi Jinping.
Ce faisant, il éclaire la part d'ombre de la Chine et en souligne les risques alors que cette dernière paraît bien décidée à imposer au monde ses propres normes culturelles face à un Occident affaibli et englué dans sa propre culpabilité.
Alors que Rouge vif avait mis en évidence le renouveau idéologique à l'oeuvre sous la présidence de Xi Jinping, Ce nouvel essai d'Alice Ekman, qui s'inscrit dans le prolongement du premier, analyse les conséquences géopolitiques de ce flamboiement idéologique. Quelle est la vision actuelle chinoise du monde ? Pourquoi cette haine renouvelée des États-Unis ? Pourquoi et comment le Parti communiste chinois souhaite-t-il promouvoir un système politico-économique alternatif à celui des États-Unis et de leurs alliés ? La Chine parvientelle à fédérer autour d'elle ? S'oriente-t-on vers une bipolarisation du monde, avec les démocraties d'un côté et les régimes autoritaires de l'autre ?
Telles sont les questions qui sont soulevées, avec précision et rigueur, par Alice Ekman, à partir de l'analyse minutieuse de sources chinoises. Bien sûr, sont pris en compte dans l'analyse l'impact géopolitique de la crise de la Covid-19, l'évolution des relations Chine/États-Unis, mais aussi celles des relations Chine-Russie - y compris les derniers développements, depuis le début de la guerre en Ukraine.
Gentleman doublé d'un érudit et d'un esthète, Robert Byron disparut en mer en 1941 quand son bateau fut torpillé au nord de l'Ecosse par la marine nazie. Il avait 36 ans. Pour Bruce Chatwyn - expert s'il en fut -, Byron fut le prince des écrivains voyageurs. On s'en convaincra aisément en lisant ce récit drôle, vivant et lyrique à la fois d'un long périple entrepris au début des années 30. On y voit notre auteur explorer avec curiosité Moscou, Leningrad et se passionner pour les églises de Novgorod. Puis, après un voyage plein de péripéties, rejoindre le Tibet qui le charme tant par la magie de ses paysages que par l'hospitalité de ses habitants. Trente ans avant le Léopard des neiges, le " toit du monde " avait déjà inspiré le chef-d'oeuvre que voici.
- Ce guide pratique s'adresse aux expatriés, voyageurs longue durée et aux hommes et femmes d'affaires qui travaillent en Asie.
- Il indique les règles incontournables de ce continent, les jeux de valeurs, les mentalités ainsi que les modes de communication pour chacune des cultures asiatiques : Thaïlande, Japon, Malaisie, Indonésie, Corée, Chine et Inde.
- Une partie est consacrée à chaque pays et indique en détail l'identité culturelle, la philosophie et la religion, le marché et ses caractéristiques, la relation espacetemps, les mécanismes de pensée, les modes de négociation.
Comment voyager au Vietnam en se comportant bien et en recontrant authentiquement les Vietnamiens et les Vietnamiennes, tel est l'objet de ce guide interculturel sans adresse mais riche de références et de conseils par un Français installé depuis près de 20 ans au Vietnam.
Après Une si jolie petite guerre et Give peace a chance, Marcelino Truong délaisse la guerre du Viêt-Nam pour celle de l'Indochine. Sur les pas de Minh, le jeune peintre qui rêve depuis Hà Nôi de Saint-Germain-des-Prés et de Juliette Gréco, enrôlé malgré lui dans le Viêt-Minh de l'Oncle Hô, un regard inédit sur le conflit qui conduisit à l'humiliante défaite des Français à Diên Biên Phù...
Julia Keith est en train de déballer un lot de décoration acheté 5 dollars chez Kmart - une affaire - lorsqu'une lettre tombe du paquet : « Ce produit est fabriqué par l'Unité 8, Département 2, Camp de travail Mashanjia, Shuyang, Liaoning, Chine. » Le lanceur de cette bouteille à la mer ? Sun Yi, un ingénieur détenu à Mashanjia, l'un de ces milliers de laogai - camps de rééducation par le travail forcé - qui quadrillent toujours la Chine et où sont notamment emprisonnés quelques 3 millions de Ouighours. Son appel à l'aide est le point de départ d'une vertigineuse enquête dans l'enfer concentrationnaire de la deuxième puissance économique mondiale.
À l'instar des abolitionnistes du XIXe siècle qui combattaent l'esclavage par l'exposé des faits, Amelia Pang démontre avec clarté le prix humain de notre frénésie de consommation.
Quelque dix ans après "Congo", David Van Reybrouck publie sa deuxième grande étude historique, consacrée cette fois à la saga de la décolonisation de l'Indonésie - premier pays colonisé à avoir proclamé son indépendance, le 17 août 1945. Il s'agit pour lui de comprendre l'histoire de l'émancipation des peuples non européens tout au long du siècle écoulé, et son incidence sur le monde contemporain. Fidèle à la méthode suivie dès son premier ouvrage, l'auteur se met lui-même en scène au cours de son enquête, alternant sans cesse, et avec bonheur, exposé de type scientifique et «reportage» à la première personne - ce qui rend la lecture de l'ouvrage à la fois aisée et passionnante. Le résultat est à la hauteur de "Congo" : c'est une grande réussite.
La route des thés oscille entre nomadisme et sédentarité, elle est faite d'étapes, comme autant de points d'attache dans un mouvement perpétuel. Elle symbolise le voyage. Les buveurs de thé sont une confrérie dont fait partie la grande voyageuse Lucie Azema.L'autrice parcourt l'histoire de ce breuvage millénaire, des premières caravanes aux colonisations, de ses usages à ses significations. Elle explore cette tension entre arrêt et mouvement, qui nous incite à embrasser nos propres errances et nos ancrages, à approcher une philosophie du voyage par étapes, à naviguer en suivant les aléas des chemins et des rencontres, à emprunter des routes aussi bien physiques qu'imaginaires.
Ce livre est l'histoire d'une famille paysanne qui cherche à échapper à sa condition misérable pour rejoindre le monde fantasmé de la ville et s'élever dans l'échelle sociale. Cette comédie humaine au style alerte révèle le destin trafiqué d'un jeune homme qui réalisera finalement son rêve en acceptant de donner son fils à une famille riche, qui par souci de discrétion absolue exige sa disparition totale. L'aspiration à s'affranchir de sa condition aura conduit à la négation de soi-même.
Une histoire d'oppression et de résistance écrite dans une langue vivante, dépourvue de pathos et souvent drôle malgré sa noirceur.
L'actualité de l'Inde, fournie et complexe, ne cesse de nous interroger. Pays continent marqué par une diversité exceptionnelle, le géant indien voit son modèle de développement remis en cause par la crise du Covid. La plus grande démocratie du monde, fondée sur l'héritage laïque de Nehru et Gandhi, est remise en cause par le nationalisme hindou et, confrontée à une croissance économique fragile, elle doit à nouveau relever le défi de la pauvreté.
En abordant successivement les aspects politiques, économiques, sociétaux et géopolitiques de l'Inde, cet ouvrage accessible et précis donne des clés de lecture pour aborder le pays, non seulement à travers sa profondeur historique mais aussi à travers ses paradoxes contemporains : quel projet politique ? Quelles perspectives économiques ? Quelles évolutions sociétales ? Quelle place pour les religions ? Quelles ambitions internationales ? Une douzaine de cartes et d'infographies viennent étayer le propos.
Johnson, tombé du nid, est le seul survivant de sa fratrie. À bout de forces, le jeune corbeau est recueilli par Ritsuko, femme de ménage et mère célibataire, qui décide de le ramener chez elle au mépris de l'interdiction d'héberger des animaux dans son immeuble. Bien lui en prend, car son fils adolescent, Yôichi, se passionne pour l'oiseau qu'il entoure de mille soins. Un jour, le gardien fait irruption chez eux et Johnson, que Yôichi avait caché sur le balcon, s'envole. C'est le début pour lui d'une longue errance. Il sait qu'il ne peut retourner auprès de son ami et cherche à survivre dans une ville hostile. Une rencontre va lui sauver la vie...
Un classique, racontant sur vingt-cinq siècles la lutte du nomade et du sédentaire, secret de l'évolution de l'Asie, voire du monde.